Mort d’Albert de Ligne (Waremme)

albert de ligne

albert de ligne

En 1674, DE LIGNE Albert décède en exil à (Madrid). Il a été avoué de Waremme.

Mort de Bauduin II de Mondersdorp (Waremme)

En 1429, la châtelain de Waremme, DE MONDERSDORP Bauduin II, décède à (?), sans postérité légitime. Sa veuve est DE JEUMONT Marie.

Il lègue l’avouerie de Waremme à son cousin DE BOULANT Guillaume.

Guillaume de la Marck capturé et condamné

guillaume de la marck

guillaume de la marck

Le 17 juin 1485, l’avoué de Hesbaye, DE LA MARCK Guillaume, est attiré par ruse dans l’enclave brabançonne de Hamal, pour participer à des festivités. Il est arrêté et transféré à Maastricht où il est jugé pour un meurtre commis jadis sur le territoire de cette ville et pour complot contre la vie du Prince.

(L’archiduc DE HABSBOURG Maximilien veut se débarrasser d’un ennemi dangereux)

Il sera condamné à mort et décapité.

maximilien de habsbourg

maximilien de habsbourg

Waremme et les villages avoisinants au début du 17ème siècle.

Au début du 17ème siècle, les « DE SELYS » obtiennent l’avouerie de Waremme.

Les fermes seigneuriales se présentent sous la forme d’un quadrilatère.

La rue principale de Waremme porte le nom de Chemin réal (chemin royal). Par la suite, elle portera longtemps le nom de rue de Huy, avant d’être rebaptisée rue Joseph Wauters.

Le château de Longchamps est la propriété du Seigneur DE LABRIQUE Guillaume.

Les premiers carreaux apparaissent, sous forme de petits vitraux dans des fenêtres à meneaux. Avant cela, les vitres n’existaient pas. Dans les châteaux, le jour ne parvenait que par des meurtrières, par où le vent s’engouffrait également. Avant l’apparition des vitraux, les petites baies pouvaient être fermées, en cas de mauvais temps, par des treillis en bois ou en parchemin. L’hiver, il gelait au fond des pièces malgré le tronc d’arbre qui brûlait à l’autre bout dans l’immense cheminée.

Dans les châteaux, se généralise l’emploi des flambeaux de poing, des chandeliers et des bougeoirs. Avant cela, l’éclairage artificiel était assuré par des torches faites d’une corde tordue enduite de résine ou de chandelles de cire ou de suif tordues ensemble.

Jean-Pierre de Sélys est avoué de Waremme

Le 15 mai 1772, le noble DE SELYS Jean-Pierre-Robert, Baron, et de Fanson, relève (fait relief) de la seigneurie de Jeneffe et de la haute vouerie de Waremme.

Marie de Sélys relève l’avouerie de Waremme

Le 23 décembre 1724, la noble dame DE SELYS Marie, Baronne douairière de Fanchon, relève (fait relief) la seigneurie de Jeneffe et de l’avouerie de Waremme.

Marie de Sélys est avouée de Waremme

Le 23 avril 1720, la noble dame DE SELYS Marie, Baronne douairière de Fanchon, relève (fait relief) la seigneurie de Jeneffe et l’avouerie de Waremme.

Agnès Coune fait relief de l’avouerie de Waremme

Le 15 juillet 1684, la noble COUNE Agnès, Dame de Fanson, veuve du noble seigneur DE SELYS Godefroid, fait relief de l’avouerie de Waremme.

Le relief est une prestation financière due au seigneur, par l’héritier du vassal défunt ou par un acheteur, en échange de l’investiture du fief. Le vassal paye pour « relever » le fief
du mort ou du vendeur. Normalement égal à une année de revenu net, le relief est lourd en soi. […] Il devient intolérable lorsque les successions sont raprochées par plusieurs morts consécutives ».

Jean-Pierre de Sélys relève l’avouerie et la châtellenie de Waremme

Le 24 novembre 1683, DE SELYS Jean-Pierre, Seigneur de Fanson, relève (fait relief de) l’avouerie haute et la châtelenie de Waremme.

Godefroid De Sélys renonce à l’avouerie de Waremme

Le 20 mai 1659, DE SELYS Godefroid renonce aux droits acquis, le 27 mai 1658, sur Jeneffe et l’avouerie de Waremme.