Les voix de préférences aux élections communales (Waremme)

En octobre 1988, le score en voix de préférences des élus au conseil communal de Waremme est le suivant (sur 9.133 votants):

PS (17 élus)

  •  COEME Guy: 3.536 voix
  • HANOT Rita: 412
  • DEJARDIN Hyacinthe: 413 (?)
  • LABY Henri: 210
  • CHABOT Jacques: 792
  • HUMBLET: 558
  • BRONCKART: 288
  • MEUREAU Robert: 654
  • LEJEUNE: 199
  • THOMAS: 318
  • GERMAY: 211
  • ROUSSEAU: 246
  • ROBERT: 186
  • TIHON: 374
  • PEETERSILLE: 320
  • GEVERS: 189
  • HEBETTE Ariane: 266

PSC (3 élus)

  • BATAILLE: 488
  • MAES: 138
  • EVRARD: 351

PRL (1 élu)

  • MERCIER: 250

Le projet d’union des cliniques de Waremme avance (Waremme)

En juillet 1987, le comité de concertation des deux cliniques waremmiennes, la clinique Joseph Wauters et la clinique Notre-Dame, publie un communiqué signé par son président, le ministre d’Etat LEBURTON Edmond, et son vice-président, le sénateur BATAILLE, avisant la population hesbignonne du dépôt d’une demande de groupement auprès des ministres DEHAENE Jean-Luc et BERTOUILLE André, respectivement ministre des Affaires Sociales et de la Communauté française, dans le but d’obtenir la poursuite des activités de chacune des cliniques.

Le but de ce groupement est de permettre à chaque clinique de vivre avec un nombre de lits raisonnable, sans fusionner, chaque institution conservant son pouvoir organisateur actuel, ainsi que sa propre direction.

Un Conseil Communal de mai (Waremme)

Le 10 mai 1982, la réunion du conseil communal de Waremme se tient en présence de:

  • LEBURTON Edmond, bourgmestre
  • HANOT, échevin
  • ETIENNE, échevin
  • DEJARDIN, échevin
  • LABY, échevin
  • LAMBERT, conseiller
  • COEN, conseiller
  • MOËS, conseiller
  • GODFRIN, conseiller
  • BATAILLE, conseiller
  • EVRARD, conseiller
  • CHABOT, conseiller
  • THOMAS, conseiller
  • MENTEN, conseiller
  • BRONCKART, conseiller
  • LARDINOIS, conseiller
  • MATHIEU, conseiller
  • CHOISIS, conseiller
  • SERVAIS, secrétaire communal

Messieurs HUMBLET et LEJEUNE sont absents.

Combats autour de la Citadelle de Liège (Belgique – Pays-Bas)

Le 27 septembre 1830, dans la soirée, le faubourg Sainte-Walburge est occupé par les Révolutionnaires, pour empêcher le ravitaillement de la Citadelle occupée par les Hollandais.

Après plusieurs jours de face – face, la bataille s’engage le 30 septembre 1830.

Le 6 octobre 1830, les Hollandais capitulent et quittent Liège.

Le poste hollandais d’Oreye est attaqué

Dans la nuit du 22 au 23 septembre 1830, le poste, installé dans la campagne d’Oreye par des Hollandais venus de Maastricht pour couper les voies de communications et empêcher que des renforts liégeois arrivent à Bruxelles, composé d’infanterie d’infanterie et de cavalerie est attaqué par surprise par un détachement de révolutionnaires liégeois, notamment une douzaine de cuirassiers commandés par le Major MATHOT et par LUCAS Alexandre-Joseph et un détachement est commandé par CHARLIER, dit « Jambe de Bois », ancien artilleur de NAPOLEON. Un détachement, commandé par WASSEIGE Jean-Joseph, de 1.000 hommes a quitté Liège avec 2 pièces d’artillerie, par le Faubourg Sainte-Marguerite, avant de rejoindre une autre colonne, composée en partie de membres de la garde communale. 

L’engagement a lieu au lieu-dit « Chevenotte », à l’entrée du village de Thys. Une fusillade nourrie éclate. Le capitaine des cuirassiers, WELLE D. se distingue par son intrépidité.Du côté révolutionnaire, le nommé » BATAILLE est frappé à mort. 3 ou 4 autres sont blessés, dont le notaire de Liège, WASSEIGE J. B., atteint d’un coup de feu dans la poitrine, après avoir désarmé une sentinelle hollandaise. Du côté hollandais, les pertes sont plus considérables. Ils sont mis en déroute. Ils abandonnent le village et se retirent précipitamment vers Saint-Trond, en abandonnant des armes, des munitions, des vêtements et plusieurs chevaux. plusieurs d’entre-eux sont faits prisonniers.

Dans un mouvement de panique, Monsieur COCHOUL, l’instituteur de Momalle, tombe dans le Geer. Il refroidira et perdra la vie peu après.

Une partie des volontaires liégeois rentre à Liège vers 8 heures du matin. D’autres, avec CHARLIER, dit « Jambe de Bois » installé sur l’affut d’un canon, poursuivent vers la Capitale, pour porter secours aux Bruxellois, rassemblés dans le Parc de Bruxelles; contribuer ainsi à la libération de la Belgique du joug hollandais et conquérir l’indépendance.

 

Mort de Magellan (Portugal – Philippines)

ferdinand de magellan

ferdinand de magellan

Le 27 avril 1521, l’explorateur DE MAGELLAN Ferdinand meurt dans une bataille aux Philippines.

Frédéric Barberousse doit reconnaître la souveraineté du Pape

frédéric 1er barberousse empereur

frédéric 1er barberousse empereur

Le 29 mai 1176, l’Empereur FREDERIC 1er BARBEROUSSE est vaincu par la Ligue Lombarde à Legnano. Suite à cette défaite, il est contraint de reconnaître la souveraineté des Etats Papaux.

Le Prince-Evêque quitte Liège définitivement

Le 20 juillet 1794, suite à la victoire française de Fleurus, le Prince-Evêque DE MEAN quitte définitivement Liège.

Guillaume de la Marck est battu

Le 3 (9 ?) janvier 1483, les troupes de DE LA MARCK Guillaume rencontre l’armée brabançonne de D’AUTRICHE Maximilien, à Hollogne-sur-Geer. C’est le désastre pour les Liégeois. DE LA MARCK Guillaume est forcé de faire la paix, de renoncer à ses ambitions et de reconnaître DE HORNES Jean comme Prince-Evêque légitime.

Cette bataille est l’une des plus sanglantes des guerres médiévales en Hesbaye. Les belligérants y utilisent la couleuvrine, dite « l’arme du siècle »: une sorte de petit canon long et effilé. Après 48 heures de bombardement, le château de Hollogne-sur-Geer est dévasté.

couleuvrine

couleuvrine