La bataille de Trafalgar (France – Grande-Bretagne)

NELSON Horatio, amiral

Le 21 octobre 1805, la flotte de BONAPARTE Napoléon est vaincue par celle de l’Amiral NELSON Horatio, à la « Bataille de Trafalgar ». L’amiral NELSON Horatio trouve la mort au cours de la bataille.

napoléon bonaparte

napoléon bonaparte

La bataille de Fontenoy (France)

maurice de saxe maréchal

maurice de saxe maréchal

Le 11 mai 1745, l’armée française, sous le commandement du Maréchal DE SAXE Marurice, remporte la victoire sur les troupes coalisées, à la « Bataille de Fontenoy ». Le Roi LOUIS XV assiste à la bataille.

roi louis xv

roi louis xv

La bataille de Neerwinden

Le 28 juillet 1693, à la veille de la bataille de Neerwinden, l’avant-garde de l’armée française traverse Waremme. Les officiers de LOUIS XIV, dont le Maréchal DE JOYEUSE, Monsieur DE LUXEMBOURG, Monsieur DE CHARTRES, le Prince DE CONTI, Monsieur DE SAINT-SIMON, utilisent comme observatoire, pour apercevoir les troupes ennemies dont le camp se trouve en deçà de la Gette, un moulin à vent qui s’élève dans l’actuelle rue des Champs, à peu près en face de la Plate-Tombe.

Ce moulin était très ancien. Il portait autrefois le nom de moulin de l’Evêque. Son existence est déjà mentionnée dans un texte de 1348. (Il sera détruit peu avant 1889).

Cette bataille ponctue une guerre de 9 ans. La moitié de l’Europe est liguée contre le Roi de France LOUIS XIV, dont l’armée est commandée par le Maréchal DE LUXEMBOURG. Une partie des toupes françaises passe à Berloz et à Corswarem, de part et d’autre du « Moulin Blanc ». La route est difficile, il y a des orages violents. Les soldats de LOUIS XIV et surtout les « piotes » (c’est-à-dire ceux qui sont à pied) sont harassés par la marche et la fatigue. Ce n’est que le lendemain, vers 4h15 du matin, qu’ils seront en mesure d’attaquer et de défaire les armées alliées, conduites par D’ORANGE Guillaume.

Mort du mayeur Guillaume Botton (Waremme)

En 1482, à la rencontre de Grivegnée, le (ancien ?) mayeur de Waremme, BOTTON Guillaume de Tourinnes, qui fait partie de la suite de DE BOURBON Louis, est tué avec celui-ci.

louis de bourbon prince-évêque de liège

louis de bourbon prince-évêque de liège

Waremme perd ses privilèges et libertés

En 1467, après la défaite liégeoise dans les plaines de Brustem, les « Bonnes Villes », dont Waremme, voient leurs privilèges et libertés abolis.

Marie de Jeneffe épouse Henri de Peterschem (Waremme – Looz)

Après 1330 (?), DE JENEFFE Marie  (veuve de DE JENEFFE Bauduin, fils aîné de DE JENEFFE Guillaume, décédé à la Bataille de Nierbonne),  épouse en secondes noces, DE PETERSCHEM Henri, Sénéchal du Comté de Looz. Par cette alliance, la presque totalité des possessions de la châtellenie de Waremme passe entre les mains des Comtes de Looz.

Mort de Guillaume II de Jeneffe (Waremme)

En 1330, DE JENEFFE Guillaume II décède à (?).  Le chagrin ressenti suite à la perte de ses deux fils à la Bataille de Nierbonne, l’a terriblement affecté, vieilli et laissé sans énergie. C’est le vrai chef de la chevalerie de Hesbaye qui disparait.

La bataille de Nierbonne

Le 27 mai (3 juin ?) 1328, le châtelain de Waremme, DE JENEFFE Bauduin III, le fils aîné de DE JENEFFE Guillaume, est tué à la bataille de Nierbonne, sur les hauteurs de Huy. Les deux frères de Guillaume, Jean et Gilles Festial ( ?) trouvent également la mort dans cette bataille.

La veuve de DE JENEFFE Bauduin est DE HANEFFE Geile.

Les Waroux attaquent Waremme

Le lendemain de la Pentecôte 1313, le 7 juin, une bataille se déroule au pied des remparts de Waremme, devant la porte de Liège. Les Waroux, menés par DE HERMALLE Henri, attaquent la ville. Ils sont reçus par une grêle de traits lancés des remparts de la ville. Après avoir repoussé quelques assauts vigoureux, DE JENEFFE Guillaume, le châtelain de Waremme, un des chefs du clan des Awans, doit battre en retraite dans son donjon, laissant sur le terrain plusieurs compagnons morts, notamment, le châtelain de Montenaken, DE LIMONT Simont, le batard de Wezemael, DE MONS Huwar, DE LOBOS Jean, messire BOTIER D’AAZ Jean. Les Waroux en profitent pour piller la ville.

Au cours de cette bataille, plus de 800 chevaux, montés par des chevaliers ou de écuyers, ainsi que de nombreux paysans et serfs (la piétaille), s’affrontent.