Vers 1715, DANIEL Anna habite à Fize-le-Marsal. Elle est veuve de PONCELET Jean. Elle vit avec sa belle-sœur, PONCELET Catherine.
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Marie-Catherine Lejeune rédige son testament (Waremme)
Le 24 avril 1794, LEJEUNE Marie-Catherine signe son testament devant le notaire MELARD (de Waremme ?).
Les bénéficiaires sont:
- Sa belle-soeur, LHOEST Marie-Jeanne, à qui elle laisse une rente à Louvain; tout ce qui lui appartient en Brabant; sa part dans la maison « des Trois Harengs » à Waremme, touchant d’amont au cimetière, d’aval au chemin royal et vers le Geer à la ruelle qui tend au cimetière.
- Sa nièce (fille de la précédente), LEJEUNE Anne-Marie-Jeanne.
- Les autres enfants de son frère, LEJEUNE Jean-Michel (et de LHOEST Marie-Jeanne), se partagent le reste de ses biens.
Vente de terres à Jeneffe
En (?), DE JENEFFE Bauduin, avoué et châtelain de Waremme, fait savoir que l’abbaye du Val-Benoit acquiert 10 bonniers de terre allodiale à Jeneffe, par l’intermédiaire de Mathilde et Elide, religieuses du Val-Benoit (filles de Marguerite, belle-soeur de DE JENEFFE Bauduin).
Les témoins de l’acte sont:
- D’OREYE Arnoul, frère de DE JENEFFE Bauduin
- DE LIMONT Robert, frère de DE JENEFFE BAUDUIN
- le seigneur GONTIER
- le seigneur DE BERLOZ Fastrard (frères)
- le seigneur DE FAIMES Libert
- le seigneur de Waleffe HUARD
- le seigneur DE HEMRICOURT Robert
- le seigneur DE ROSOUX Herman
Testament de Thomas de Donceel (Hodeige)
Le 6 juillet 1636, le curé de Hodeige, l’abbé DE DONCHEIL (DE DONCEEL) Thomas, rédige un testament par lequel il choisit sa sépulture dans l’église de Hodeige. Il y fonde un anniversaire et lègue à la Mense des Pauvres une rente annuelle de 4 muids d’épeautre.
Il fait quelques legs, à :
- SIMONIS Jean, un cousin de Liège
- SIMONIS Gilles, avocat, un cousin de Liège
- sa nièce, Marguerite, épouse de COMAN Jean de Hodeige
- sa belle-sœur, Marguerite, veuve de DE DONCEEL Bauduin
Quant à tous ses autres biens meubles et immeubles, il en institue ses héritiers universels, DE BRABANT Antoine, son beau-frère, et DE DONCEEL Marguerite, sa soeur.
Gaspard Leva écrit à son ami Jonquer (Bettincourt – Pologne)
Le 7 décembre 1806, LEVA Gaspard, cultivateur à Bettincourt, soldat dans la 1ère Compagnie du 1er Bataillon Principal Train d’Artillerie du 3ème Corps de la Grande Armée de Pologne, écrit de Varsovie à son ami JONQUER:
» A monsieur Jonquer
Mon très cher ami,
La présente est pour m’informer de l’état de votre santé; à l’égard de la mienne elle est très bonne, Dieu merci. Je souhaite que la présente vous trouve de même. Mon très cher ami voilà la troisième que j’ai l’honneur de vous écrire sans avoir de vos nouvelles. C’est ce qui me fait beaucoup de peine, je ne sais à quoi attribuer cela. Je ne sais pas si c’est que les lettres ne vous parviennent pas, je ne pas encore reçu de vos nouvelles depuis que je suis parti de Compiègne, et je suis parti pour aller chercher des chevaux de remonte dans nos endroits et étant à Marche-en-Famenne, j’ai demandé la permission pour aller faire un tour au pays de mes chefs, et ils n’ont pas voulu me la donner vu qu’il y avait trop loin et qu’il fallait partir de suite. Quand je vis cela, je vous ai écrit de Marche dont je n’ai pas reçu de réponse, et nous sommes partis tranquilles comme Baptiste rejoindre l’armée.
Mon cher ami je vous dirai que voilà bien du chemin que nous faisons depuis ces temps-là. Nous avons commencé par les Autrichiens et nous avons passé à Vienne ville Capitale de l’Autriche sans beaucoup de peine, mais nous avons eu une bataille a cinquante lieues de Vienne qui est la bataille d’Austerlitz qui était une bataille sanglante et nous sommes revenus au cantonnement dans la Bavière pendant six mois, et nous étions très bien, et nous ne pensions pas avoir la guerre avec les Prussiens, mais l’on nous a trompé, et nous sommes partis de la Bavière le 26 de septembre pour nous battre avec les Prussiens, et nous ne les avons pas rencontrés que le 14 octobre que nous avons eu une bataille assez sanglante (le 14 octobre 1806, ont eu lieu simultanément la bataille d’Iéna et la bataille d’Auerstedt), mais notre compagnie a eu du bonheur nous n’avons perdu personne, Dieu merci, mais notre Corps d’Armée a très souffert nous avons des régiments qui ont perdu considérablement de morts et après, nous avons marché sur la ville Capitale de la Prusse qui est Berlin, et nous y sommes entrés sans tirer un coup de fusil, et nous sommes actuellement à la ville Capitale de la Pologne dont il y a une très grand rivière (la Vistule) et le Prussien et le Russien n’avait eu que le temps de couper le pont, et il gardait le côté du pont, et nous gardions l’autre, mais nous les avons fait évacuer et nous attendons que le pont soit raccommodé pour passer et nous avons deux Corps d’Armée qui les ont pris par derrière et ils sont bloqués à l’environ de cinquante mille tant Russes que Prussiens et les Prussiens se rendent tous les jours. Voilà cher ami ce que je peux vous apprendre pour le présent de la guerre.
Je vous prie d’assurer bien de mes respects à monsieur MATTELAUT Henri ainsi qu’à sa femme et ses enfants, mon très cher MATTELAUT Henri je vous prie de me faire part de l’adresse de mes deux frères LEVA Gilles-Joseph et LEVA Robert, si vous les savez parce que l’on m’a dit que l’île de Saint-Domingue était rendue. Je vous prie de me faire passer un certificat de currele (?) et je vous prie de faire réponse de suite. Je vous prie de faire mes compliments à BOCQ Biéthé (?) et que je le salue en écrivant la lettre le verre à la main, bien des compliments à ma belle-soeur, à Marie, ainsi qu’à mon neveu LEVA (?) Lambert, ainsi qu’à tous les amis de la boutique MATHELOT Henri. Et si je vous prie de me donner des nouvelles du pays, si les jeunes gens partent. Je vous dirai que j’ai vu la femme de LELARGE Arnold et je n’ai pas vu son homme; il est dans la 5ème Compagnie du 3ème Bataillon Bis.
Le finis en vous embrassant de tout mon cœur et je suis pour la vie votre ami. »
La société colombophile « L’Egalité » (Oreye)
Vers 1900, la société colombophile « L’Egalité » est fondée à Oreye par PINTE Joseph et sa belle-soeur GENNON Jeanne.
Laurent Glade, chartier (Petit-Axhe)
En 1763, GLADE Laurent est chartier (?) sur le territoire de la paroisse de Petit-Axhe, à Waremme. Il possède 1 cheval. Son épouse est JADOUL Agnès, travaillante à journée.
Il habite avec:
- JADOUL Marie-Anne, soeur d’Agnès, jeune fille (célibataire), travaillante à journée, âgée de 35 ans.
Guilleaume-Henri Léonard, épicier (Waremme)
En 1763, LEONARD Guilleaume-Henri est tenant d’une boutique du commun (épicerie ?) à Waremme. Son épouse est SEVERIN Marie-Anne.
Ils habitent avec:
- SEVERIN Dieudonnée, soeur de Marie-Anne, âgée de 35 ans
Joseph Dangleur, boucher (Waremme)
En 1763, DANGLEUR Joseph est boucher à Waremme. Il tient également une boutique du commun (épicerie ?). Son épouse est WILLEMS Gertrud.
Il habite avec:
- DANGLEUR Marie-Joseph, sa fille, tenante de la boutique du commun, âgée de 28 ans
- DANGLEUR Marie, sa fille, âgée de 19 ans
- WILLEMS Elisabeth, la soeur de sa femme, dite « imbécille », âgée de 58 ans
Mort de Bauduin de Barbançon (Waremme)
Le 8 mai 1576, le châtelain de Waremme, DE BARBANCON Bauduin, décède à (?). Il était veuf de DE BOULANT Jeanne.
C’est son fils, DE BARBANCON Henri, qui hérite de la châtellenie de Waremme. Il en fait relief. Son épouse est D’OIGNIES Bonne, sa belle-soeur.
(Relever ou faire relief est le fait, pour un héritier d’un vassal défunt, de verser une somme d’argent à son seigneur en échange de l’investiture du bien. Le vassal paye pour « relever » le fief du mort. Normalement, cette prestation financière est égale à une année du revenu net du fief. Le « relief » est donc lourd.)