La ferme de Jean-Robert Stracman (Waremme)

En 1763, STRACMAN Jean-Robert est censier propriétaire à Waremme. Son épouse est JOSSAR Marie-Anne. 

Il habite également avec:

  • DANIELS Nicolas, un pensionnaire, âgé de 18 ans
  • VELARS Jacques, son domestique
  • BODEN Marie, sa servante
  • QUITIS Arnold, son berger
  • TOGNE Jean-baptiste, vitrier (?) et son domestique, MASSIOLO François, âgé de 18 ans.

François Henrion, berger (Waremme)

En 1763, François Henrion est berger à la ferme de FRERARD Thibeau, à Waremme.

La ferme de Thibeau Frérard (Waremme)

En 1763, FRERARD Thibeau (Théobalde ?) est censier propriétaire à Waremme.

Il habite avec son épouse, JOSSAR Marie-Catherine, mais également avec:

  • DEBIEN François, son domestique, et son épouse, MOUCHET Anne
  • HENRION François, son berger
  • ROSY Marguerite, sa servante, âgée de 19 ans

Jacques Lismonde, berger (Waremme)

En 1763, LISMONDE Jacques est berger chez l’échevin  et censier propriétaire de Waremme, PIRAR Libert. Il est âgé de 19 ans.

Libert Pirar, échevin (Waremme)

En 1763, PIRAR Libert est échevin à Waremme. Il est censier propriétaire et réside à Mouhin. Il habite avec son épouse, FRERARD Jeanne-Marie, leur domestique, HOGE François, âgé de 23 ans, et leur berger, LISMONDE Jacques, âgé de 19 ans.

Salaire en Hesbaye

Au 18ème siècle, un domestique hesbignon gagne 100 francs par an, une servante 50 francs et un berger 200 francs.

Les manoeuvres agricoles (qui travaillent à la journée) ne touchent que 50 centimes par jour, lorsqu’ils sont nourris, et de 60 à 75 centimes, lorsqu’ils ne le sont pas.

Les habitants de la ferme du Tombeur (Hemricourt)

En 1762, habitent la ferme dite « du Tombeur », à Hemricourt:

  • VILLEGIA Guilleaume, greffier
  • VILLEGIA Johannes, son frère
  • VILLEGIA Margueritte, leur soeur
  • VILLEGIA Jean, leur oncle
  • MASUY Henri, domestique
  • BERDEN Johannes, domestique
  • PAQUAY André, berger
  • ISTA, porcher
  • MARCHANDISE Marie-Jeanne, servante

Les pompiers de Waremme

En 1942, la brigade des pompiers de Waremme est composée de :

  • PARATE (père)
  • VANDENSAVEL
  • BONNECHERE
  • RENIER Victor
  • BRUNEAU François
  • TINLOT Alphonse
  • DOCKIER G.
  • BERGER J.
  • ROBERT Joseph
  • FONTAINE Fernand
  • STREEL Ernest
  • RENSON H.

Les professions exercées à Waremme

En 1856, les professions exercées à Waremme sont les suivantes :

  • 1 agent d’assurances
  • 1 inspecteur cantonal d’enseignement primaire
  • 1 agent des domaines
  • 1 instituteur
  • 1 arpenteur juré
  • 1 jardinier
  • 1 berger
  • 64 journaliers
  • 1 blatier
  • 1 juge de paix
  • 2 bouchers
  • 11 maçons
  • 2 boulangers
  • 3 marchands
  • 1 bourrelier
  • 1 marchand de grains
  • 2 brasseurs
  • 4 maréchaux-ferrants
  • 3 cabaretiers
  • 5 médecins
  • 5 charpentiers
  • 16 menuisiers
  • 1 charron
  • 3 meuniers
  • 1 chef de gare
  • 16 négociants
  • 1 cirier
  • 3 notaires
  • 1 clerc de notaire
  • 1 orfèvre
  • 1 commissaire de district
  • 4 ouvriers SNCB
  • 1 Cordonnier
  • 1 peintre
  • 1 cuisinière
  • 3 pharmaciens
  • 26 cultivateurs
  • 1 receveur
  • 6 cultivateurs
  • 2 serruriers
  • 1 employé SNCB
  • 2 tanneurs
  • 1 gendarme
  • 1 tonnelier
  • 1 greffier de paix
  • 1 vétérinaire
  • 1 huissier
  • 1 vitrier
  • 1 ingénieur civil

Professions exercées par les hommes à Waremme

En 1763, les professions exercées par les hommes sont les suivantes :

  • 1 apothicaire
  • 1 huissier
  • 1 barbier
  • 1 jardinier
  • 7 bergers
  • 57 journaliers
  • 15 boutiquiers
  • 2 maréchaux-ferrants
  • 3 brasseurs
  • 1 médecin
  • 4 cabaretiers
  • 16 menuisiers
  • 8 Charretiers
  • 2 meuniers
  • 3 charrons
  • 2 porchers
  • 1 chirurgien
  • 2 selliers
  • 1 cordonnier
  • 6 tailleurs
  • 1 couvreur de toits
  • 19 tisserands
  • 12 cultivateurs
  • 3 tonneliers
  • 6 domestiques
  • 1 tourneur en bois
  • 8 domestiques de ferme
  • 2 vitriers
  • 1 faiseur de corde

En 1763, les journaliers et journalières waremmiens sont 143. Ils représentent 41,5% des travailleurs. Lorsqu’on parle de journalier, on entend traditionnellement l’ouvrier agricole à qui on confie les petits emplois les moins bien payés. Mais à Waremme, il n’y a que 12 cultivateurs recensés, qui ne peuvent employer une telle quantité de main d’œuvre. En fait, le journalier est un ouvrier payé à la journée dans n’importe quel domaine, sans attache avec un employeur particulier. Souvent sans qualification, il est d’une grande mobilité professionnelle. La plus grande partie des journaliers travaillent à domicile, chez un autre journalier disposant d’un plus grand local ou même dans une sorte d’atelier public, mis à sa disposition par un fabricant. Les journaliers louent leurs services au gré des demandes et des saisons. Ces journaliers « travailleurs à domicile » n’exécutent que la fonction technique, la fonction économique reste l’apanage du marchand dont ils dépendent pour obtenir les matières premières et les commandes. Ils sont donc économiquement subordonnés à ce marchand.