Salaire en Hesbaye

Au 18ème siècle, un domestique hesbignon gagne 100 francs par an, une servante 50 francs et un berger 200 francs.

Les manoeuvres agricoles (qui travaillent à la journée) ne touchent que 50 centimes par jour, lorsqu’ils sont nourris, et de 60 à 75 centimes, lorsqu’ils ne le sont pas.

Les habitants de la ferme du Tombeur (Hemricourt)

En 1762, habitent la ferme dite « du Tombeur », à Hemricourt:

  • VILLEGIA Guilleaume, greffier
  • VILLEGIA Johannes, son frère
  • VILLEGIA Margueritte, leur soeur
  • VILLEGIA Jean, leur oncle
  • MASUY Henri, domestique
  • BERDEN Johannes, domestique
  • PAQUAY André, berger
  • ISTA, porcher
  • MARCHANDISE Marie-Jeanne, servante

Les pompiers de Waremme

En 1942, la brigade des pompiers de Waremme est composée de :

  • PARATE (père)
  • VANDENSAVEL
  • BONNECHERE
  • RENIER Victor
  • BRUNEAU François
  • TINLOT Alphonse
  • DOCKIER G.
  • BERGER J.
  • ROBERT Joseph
  • FONTAINE Fernand
  • STREEL Ernest
  • RENSON H.

Les professions exercées à Waremme

En 1856, les professions exercées à Waremme sont les suivantes :

  • 1 agent d’assurances
  • 1 inspecteur cantonal d’enseignement primaire
  • 1 agent des domaines
  • 1 instituteur
  • 1 arpenteur juré
  • 1 jardinier
  • 1 berger
  • 64 journaliers
  • 1 blatier
  • 1 juge de paix
  • 2 bouchers
  • 11 maçons
  • 2 boulangers
  • 3 marchands
  • 1 bourrelier
  • 1 marchand de grains
  • 2 brasseurs
  • 4 maréchaux-ferrants
  • 3 cabaretiers
  • 5 médecins
  • 5 charpentiers
  • 16 menuisiers
  • 1 charron
  • 3 meuniers
  • 1 chef de gare
  • 16 négociants
  • 1 cirier
  • 3 notaires
  • 1 clerc de notaire
  • 1 orfèvre
  • 1 commissaire de district
  • 4 ouvriers SNCB
  • 1 Cordonnier
  • 1 peintre
  • 1 cuisinière
  • 3 pharmaciens
  • 26 cultivateurs
  • 1 receveur
  • 6 cultivateurs
  • 2 serruriers
  • 1 employé SNCB
  • 2 tanneurs
  • 1 gendarme
  • 1 tonnelier
  • 1 greffier de paix
  • 1 vétérinaire
  • 1 huissier
  • 1 vitrier
  • 1 ingénieur civil

Professions exercées par les hommes à Waremme

En 1763, les professions exercées par les hommes sont les suivantes :

  • 1 apothicaire
  • 1 huissier
  • 1 barbier
  • 1 jardinier
  • 7 bergers
  • 57 journaliers
  • 15 boutiquiers
  • 2 maréchaux-ferrants
  • 3 brasseurs
  • 1 médecin
  • 4 cabaretiers
  • 16 menuisiers
  • 8 Charretiers
  • 2 meuniers
  • 3 charrons
  • 2 porchers
  • 1 chirurgien
  • 2 selliers
  • 1 cordonnier
  • 6 tailleurs
  • 1 couvreur de toits
  • 19 tisserands
  • 12 cultivateurs
  • 3 tonneliers
  • 6 domestiques
  • 1 tourneur en bois
  • 8 domestiques de ferme
  • 2 vitriers
  • 1 faiseur de corde

En 1763, les journaliers et journalières waremmiens sont 143. Ils représentent 41,5% des travailleurs. Lorsqu’on parle de journalier, on entend traditionnellement l’ouvrier agricole à qui on confie les petits emplois les moins bien payés. Mais à Waremme, il n’y a que 12 cultivateurs recensés, qui ne peuvent employer une telle quantité de main d’œuvre. En fait, le journalier est un ouvrier payé à la journée dans n’importe quel domaine, sans attache avec un employeur particulier. Souvent sans qualification, il est d’une grande mobilité professionnelle. La plus grande partie des journaliers travaillent à domicile, chez un autre journalier disposant d’un plus grand local ou même dans une sorte d’atelier public, mis à sa disposition par un fabricant. Les journaliers louent leurs services au gré des demandes et des saisons. Ces journaliers « travailleurs à domicile » n’exécutent que la fonction technique, la fonction économique reste l’apanage du marchand dont ils dépendent pour obtenir les matières premières et les commandes. Ils sont donc économiquement subordonnés à ce marchand.

Ouverture de la boucherie Berger (Waremme)

Le 17 novembre 1994, BERGER Marc ouvre une boucherie au n° 46 de la rue Joseph Wauters à Waremme.

Personnel du Vicinal (Waremme)

Dans les années 30, Monsieur BERGER est le chef de la station du vicinal à Waremme, BOTTY Gilbert est contrôleur et JOIRET Armand est machiniste.

Mademoiselle Berger, institutrice (Waremme)

En 1914, Mademoiselle BERGER est nommée institutrice au Collège Saint-Louis de Waremme. Elle occupera cette fonction jusqu’en 1915.