En 1950, la sucrerie de Remicourt traite 22.911,07 tonnes de betteraves (363,67 tonnes par jour).
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Culture de la betterave (Hesbaye)
De 1846 à 1866, la culture de la betterave passe de 115 à 6299 hectares, en Hesbaye.
Culture de la betterave (Hesbaye)
Avant 1870, la culture de la betterave est à introduite à grande échelle dans les assolements, en Hesbaye.
Recensement agricole en Hesbaye
En 1846, le premier recensement agricole montre que les céréales occupent en moyenne 45 à 50% de la surface agricole totale de la Hesbaye. Dans les céréales cultivées, le froment occupe de loin la première place.
La culture de la betterave est quasi-inexistante.
Capacité de la Raffinerie (Oreye)
En 1992, la capacité de la Raffinerie « Notre-Dame » d’Oreye est de 5.500 tonnes de betteraves par jour.
Production de sucres raffinés (Oreye)
En 1981, dans le cadre du plan de spécialisation de la Raffinerie Tirlemontoise, la Raffinerie « Notre-Dame » d’Oreye abandonne la production et le conditionnement des sucres ménagers, pour se consacrer principalement à la fabrication de sucres raffinés pour l’industrie et l’artisanat. Sa capacité est de 5.000 tonnes de betteraves par jour.
Elle doit alors sa renommée, en grande partie, à sa spécialité: le Sucre Perle, qui fait le bonheur des boulangers-pâtissiers, ainsi que des amateurs de gaufres, craquelins, brioches et autres gourmandises.
Il faut curer les rigoles et fossés (Crisnée)
Le 30 septembre 1920, le conseil communal de Crisnée demande à la râperie de Fexhe que ses ouvriers, préposés à la surveillance de l’écoulement des eaux de lavage des betteraves, continuent leur travail de curage des rigoles et fossés, depuis Kemexhe, jusqu’au-delà du territoire de Crisnée.
Le prix de l’arrachage de betteraves (Crisnée)
En octobre 1896, l’arrachage de 22 verges de betteraves coûte 23 francs à Crisnée.
Arrêt de la râperie (Crisnée)
Le 6 décembre 1968, la râperie de Crisnée cesse ses activités. La production de betteraves du village et des environs sera traitée par la sucrerie d’Oreye.
Sucreries à l’arrêt (Belgique)
Le samedi 11 novembre 1939, la plupart des sucreries belges arrêtent la réception des betteraves. On craint une invasion allemande imminente. Le 18 novembre, l’alerte passée (!), les sucreries reprennent leurs activités.