En 1888, la sucrerie d’Omal obtient un raccordement à la gare vicinale du village, ce qui améliore considérablement son approvisionnement en betteraves.
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Les travaux de la Société d’Agriculture Industrielle (Waremme)
En 1871, la S.A. d’Agriculture Industrielle de Waremme est autorisée à établir sur l’accotement de la Chaussée Romaine:
- des poteaux auxquels sera attaché un fil télégraphique
- des tuyaux en fonte conducteurs de jus de betteraves, d’un diamètre de 8 à 12 cm, posés à une profondeur de 80 cm, à 1 mètre de la bordure de l’empierrement.
Les dégradations de la sucrerie (Hollogne-sur-Geer)
Le 14 mars 1867, le conseil communal de Hollogne-sur-Geer débat sur le montant de la subvention à payer par la société « NAVEAU et LEDOCTE » pour les frais d’entretien des chemins, suite aux dégradations extraordinaires occasionnées par le transport de betteraves à destination de son usine de sucre.
La société accepte de payer 1.360 francs pour l’achat de pierres destinées à la réparation du chemin de grande communication « Waremme – Lens-Saint-Remy ».
Il y aura une sucrerie à Hollogne-sur-Geer
Le 2 janvier 1865, le conseil communal de Hollogne-sur-Geer examine la demande d’autorisation de construire une fabrique de sucre de betteraves animée par deux petites machines à vapeur, introduite par la société « NAVEAU et LEDOCTE ».
L’autorisation sera accordée.
Pollution du Geer (Waremme)
Vers 1935, à la saison betteravière, les eaux du Geer, à Waremme, se couvrent d’une épaisse couche de mousse blanchâtre.
Louis Botty, chef de service (Oreye)
En 1922, BOTTY Louis est engagé à la Raffinerie Notre-Dame d’Oreye. Il deviendra chef du service « betteraves ».
Investissement à la raffinerie (Oreye)
En 1969, un nouveau lavoir à betteraves « MAGUIN », permettant d’en traiter 4.000 tonnes par jour, est installé à la Raffinerie Notre-Dame d’Oreye.
Investissement à la raffinerie (Oreye)
En 1952, un nouveau diffuseur continu, d’une capacité de 2000 tonnes de betteraves par jour, est installé à la Raffinerie Notre-Dame d’Oreye. Cette installation a été mise au point par la Reffinerie Tirlemontoise.
La Sucrerie d’Oreye
En 1913, la Sucrerie Notre-Dame d’Oreye peut traiter 500 tonnes de betteraves par jour.
Fermeture de la râperie (Hollogne-sur-Geer)
En janvier 2009, la râperie de Hollogne-sur-Geer doit fermer ses portes.
Elle a été fondée en 1865 et est devenue trop vétuste. Elle est jugée trop « énergivore » par la Raffinerie Tirlemontoise qui l’exploite. Elle employait une quinzaine d’ouvriers permanents, qui seront recasés sur d’autres sites du groupe. Elle employait également une quarantaine de saisonniers. Les agriculteurs de la région devront parcourir plus de kilomètres pour décharger leur stock de betteraves.