En février 1657, faute de payement de rentes, une partie des biens de DE LIGNE Albert sont saisis, dont l’avouerie de Hesbaye.
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Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre (Waremme)
En 1944, la section de Waremme de l’Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre (ARFEG) est dirigée par MUSCHART Marie-Louise. Elle recrute principalement ses membres parmi les scouts.
C’est un mouvement national, dont la mission est de mettre en lieu sûr le mobilier et les objets personnels de citoyens dont les biens sont mis en péril à la suite de bombardements.
Les ordres et congrégations religieux sont supprimés (Waremme – Belgique – France)
Le 1er septembre 1796 (15 fructidor de l’An IV), une loi française ordonne la fermeture des maisons ou établissements religieux, couvents, monastères, abbayes et prieurés; supprime tous les ordres et congrégations réguliers des deux sexes, en Belgique, et confisque leurs biens au profit de la République.
Cette loi accorde:
- aux religieux, un bon de 15.000 francs
- aux religieuses, un bon de 10.000 francs
- aux frères laïcs, un bon de 5.000 francs
- aux soeurs converses, un bon de 3.334 francs
Ces bons ne peuvent être employés qu’en acquisition de biens nationaux.
Les religieux doivent sortir de leur couvent dans les 20 jours après la réception de leur bon et quitter en même temps le costume religieux.
A Waremme:
- au couvent des Sépulchrines: 12 religieuses et 2 soeurs accepteront le bon;
- au couvent des Récollets: 11 religieux et 6 frères accepteront le bon.
Le Législateur prévoit une exception à cette suppression pour les maisons religieuses qui ont pour objet l’éducation publique ou le soulagement des malades et qui tiennent réellement des écoles ou des salles de malades.
La direction des domaines nommera des commissaires pour faire l’inventaire des biens et meubles des couvents supprimés et préparer leur vente publique.
Note:
Le bon que le gouvernement présente à chaque religieux fera l’objet d’une vive controverse. Il s’agit de savoir s’il est permis de l’accepter. Les uns soutiennent qu’en l’acceptant, on approuve la loi de suppression et on coopère à son exécution; qu’en rachetant les biens de son couvent avec ce bon, on viole son voeu de pauvreté. Les autres répliquent qu’en acceptant le bon, on accepte simplement une partie de ce qui a été injustement enlevé au couvent et qu’en rachetant au moyen de ce bon les biens de son couvent, on ne fait que racheter son propre bien. La plupart des religieux et religieuses du département de l’Ourte croient que l’acceptation du bon est licite.
Des biens situés à Rosoux
En 1098, un dénommé Evrard concède à l’abbaye de Flône les biens qu’il possède à Rosoux.
Nicolas Missaire, sergent (Hemricourt)
En 1781, MISSAIRE Nicolas est sergent à Hemricourt.
Sa mission consiste à veiller aux biens d’autrui, à porter le convocations aux membres de la Cour de Justice et à maintenir l’ordre aux séances de cette Cour. Il est également garde-chasse, garde-pêche et forestier.
Jacques Tombeur, sergent (Hemricourt)
En 1760, TOMBEUR Jacques est sergent à Hemricourt.
Sa mission consiste à veiller aux biens d’autrui, à porter le convocations aux membres de la Cour de Justice et à maintenir l’ordre aux séances de cette Cour. Il est également garde-chasse, garde-pêche et forestier.
Le sergent Garnier (Hemricourt)
En 1747, GARNIER est sergent à Hemricourt.
Sa mission consiste à veiller aux biens d’autrui, à porter le convocations aux membres de la Cour de Justice et à maintenir l’ordre aux séances de cette Cour. Il est également garde-chasse, garde-pêche et forestier.
Hubert Distec, sergent (Hemricourt)
En 1738, DISTEC Hubert est sergent à Hemricourt.
Sa mission consiste à veiller aux biens d’autrui, à porter le convocations aux membres de la Cour de Justice et à maintenir l’ordre aux séances de cette Cour. Il est également garde-chasse, garde-pêche et forestier.
Gilbert Burtin, sergent (Hemricourt)
En 1732, BURTIN Gilbert est sergent à Hemricourt.
Sa mission consiste à veiller aux biens d’autrui, à porter le convocations aux membres de la Cour de Justice et à maintenir l’ordre aux séances de cette Cour. Il est également garde-chasse, garde-pêche et forestier.
Fastré Humblet, sergent (Hemricourt)
En 1730, HUMBLET Fastré est sergent à Hemricourt.
Sa mission consiste à veiller aux biens d’autrui, à porter le convocations aux membres de la Cour de Justice et à maintenir l’ordre aux séances de cette Cour. Il est également garde-chasse, garde-pêche et forestier.