Le 14 novembre 2013, la Confrérie des Moines Chartreux de Pousset organise une dégustation de bières spéciales, au Cercle Saint-Lambert, situé au n° 18 de la rue Cardinal Mercier à Pousset (Remicourt).
Le Père Prieur de la confrérie est JACOB Pol.
Vers 2005, la Brasserie d’Oleye est installée au n° 39 de la rue d’Elmette, à Oleye. Elle produit une dizaine de bières.
En mai 2015, la Ferme Lekane est installée au n° 49 de la rue La Ville à Jeneffe (Donceel). Elle est exploitée par LEKANE Philippe. Il est assisté par DETHIER Stéphane.
Il élève et vend des volailles. Il vend également du beurre, du fromage, des yaourts, des fruits et légumes, des produits artisanaux de la région (confiture, moutarde, sirop, foie gras, chocolat, bière, vin, miel, …), des paniers gourmands.
Elle vend une gamme de produits sous le label « Aux Vraies Saveurs ».
En avril 1932, la société coopérative « Les Etablissements de l’Avenir » est installée au n° 67 de la rue de la Centrale à Waremme.
Elle vend des denrées coloniales, du tabac, des cigares, du vin, de la bière, des liqueurs. Il s’agit également d’une usine électrique pour la torréfaction des cafés et la mouture des épices.
En 1978, le brasseur de Waremme, MOUREAU Georges, est nommé président de « ALINBEL », association liégeoise de l’industrie et du négoce de bières, eaux et limonades. Il occupera cette fonction jusqu’en 2006.
En septembre 1986, dans le cadre de la Fête de la Bière, quelques personnalités waremmiennes sont intronisées « Chevalier du Fourquet »:
Le 12 septembre 1986, un chapiteau de 5.000 m2 est installé place de la Gendarmerie à Waremme et accueille le Salon Professionnel des Brasseurs.
Entre 1806 et 1813, le Français THOMASSIN Louis-François rédige Le « Mémoire Statistique ». Il est chef de la division des finances à la Préfecture du Département de l’Ourthe.
Il décrit un peuple très attaché au catholicisme et aux figures ecclésiastiques qui l’incarnent; mais aussi un peuple peu instruit et revendicatif, friand de procès.
Il trace une ligne de partage entre Flamands et Wallons, mais surtout entre classes sociales. Les rares fermiers, propriétaires et locataires, exercent un réel pouvoir sur les nombreux ouvriers agricoles et manoeuvres, qu’ils peuvent congédier à discrétion et qui nourrissent dès lors à leur endroit une rancune tenace.
THOMASSIN observe, par ailleurs, un paradoxe: bien que vivant sur le sol le plus productif du département, le Hesbignon se nourrit très mal, préférant exporter le fruit de son travail et s’alimenter de pain de seigle mal cuit, de lard et de pommes de terre. Seuls les plus aisés dérogent à cette règle.
Il note la présence de débits de boissons dans chaque village mais l’absence presque totale d’auberges, sauf sur la route de Liège à Bruxelles et à Waremme même.
De ce portrait, peu flatteur, on peut encore épingler deux traits significatifs:
Vers 1548, le grand quart de bière se paie 27 sous à Waremme, et le gobelet 16 sous.
En 1896, il y a 145 fabriques de bière recensées dans la région de Waremme.