Le 18 octobre 1813, FRERE Guillaume-Joseph, de Remicourt, voltigeur au 8ème Régiment de Voltigeurs de la Garde Impériale, est blessé à Leipzig.
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Bombe chez Théophile Marchal (Oreye)
Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, la queue d’une bombe volante allemande V1 atterrit dans la cour de la ferme de MARCHAL Théophile, à Oreye, occasionnant de nombreux dégâts à l’habitation. Les portes et les fenêtres volent en éclats. Mais il n’y a ni mort, ni blessé.
Le brigadier Dupont au Collège Saint-Louis (Waremme – France)
Le 13 mai 1940, le brigadier français DUPONT, blessé dans les combats de Jauche, est transporté à l’antenne médicale installée au collège Saint-Louis, avenue Reine Astrid, à Waremme. Il devra être amputé d’une jambe.
Des blessés français au Collège Saint-Louis (Waremme – France)
Le 13 mai 1940, les sous-lieutenants français, PASTEUR Jean-Paul et AUBRY Jacques, sont blessés dans les combats de Hannut. Ils sont transportés à l’antenne médicale installée au Collège Saint-Louis, avenue Reine Astrid, à Waremme.
Les moyens chirurgicaux de l’établissement sont sommaires. Les blessés les plus graves sont donc transportés à l’hôpital Saint-Laurent, à Liège.
Edgard Materne, soigné à l’Hospice (Waremme – Vaux-Borset – Remicourt)
Du 12 mai au 22 mai 1940, le Waremmien CHAMPAGNE Edgard, blessé à Vaux-Borset, est soigné à l’Hospice MELOTTE Jules à Remicourt, par le curé JACOBS. Il a le mollet droit perforé et une éraflure au genou gauche. Il sera ensuite transféré à Waremme.
Edgard Champagne, blessé (Waremme – Vaux-Borset)
Le 12 mai 1940, le Waremmien CHAMPAGNE Edgard, soldat à la 10ème Compagnie du 12ème Régiment de Ligne, est blessé à Vaux-Borset. Une balle lui transperce le mollet droit et une autre l’atteint au genou.
Edgard Champagne, hospitalisé (Waremme)
En mai 1940, le Waremmien CHAMPAGNE Edgard est soigné à l’antenne médicale installée au Collège Saint-Louis, avenue Reine Astrid à Waremme. Il habite à la rue des Champs.
Léon Berger emmené à la Clinique Notre-Dame (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe rue Joseph Wauters, face au Café « Aux Sports », HENROTEAUX Georges et COUCHANT Hyacinthe, prennent en charge le blessé BERGER Léon, à la sortie du cabinet du docteur HONLET, le place sur une civière et le conduisent à la Clinique Notre-Dame. Il est conscient et parle, par moments.
Il est examiné par les docteurs BOURMANNE Louis et VERDIN René. Le diagnostic est pessimiste: une profonde blessure à la base du crâne a provoqué une importante hémorragie et la rupture des vertèbres cervicales. Il est paralysé des quatre membres. L’issue fatale est inévitable. Les médecins ne peuvent qu’atténuer ses souffrances. on lui bande la tête et on le transporte dans une chambre. Sa maman, GIHOUSSE Marie, reste à son chevet.