Le 12 mai 1940, le Waremmien CORNELIS Hubert, soldat à la 10ème Compagnie du 12ème Régiment de Ligne, est blessé à l’épaule, à Haneffe. Il est emmené avec d’autres blessés, à la ferme de FOSSOUL Louis, où ils reçoivent quelques soins.
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L’antenne médicale du Collège (Waremme)
En mai 1940, une antenne médicale est installée au Collège Saint-Louis de Waremme.
Quelques infirmières et bénévoles s’y occupent des blessés:
- BERGER Léone
- DUCHATEAU Irène
- FRAIPONT Marguerite
- GOUTMAN Jeanne
- HERCK Elise
- JACQUEMIN Marguerite
- LAGNEAU Madeleine
- LEBURTON Madeleine
- MUSCHART Marie-Louise
- ROBERT Suzanne
- SERET Jeanne
- TEYSKENS Lucienne
- UYTDENBROEK Jeanne
Le Centre Médical militaire quitte Waremme
Le 11 mai 1940, le Centre Médico-Chirurgical Militaire, qui s’est installé la veille à l’Ecole Moyenne de Waremme, rue Charles Lejeune, se replie sur Hannut. Les blessés sont transportés à la Clinique Notre-Dame, rue Joseph Wauters.
Les blessés du train de Fexhe (Waremme – Fexhe-le-Haut-Clocher)
Le 11 mai 1940, vers 16 heures, le train qui a été bombardé en gare de Fexhe-le-Haut-Clocher, plus tôt dans la journée, arrive en gare de Waremme.
Les victimes sont extraites du train et allongées provisoirement dans les locaux de la gare, réservés aux marchandises. Les nombreux blessés sont emmenés dans les cliniques et centres médicaux de la ville (des blessés sont accueillis au Centre Médico-Chirurgical que l’Armée a ouvert à l’Ecole Moyenne), mais ils sont rapidement saturés.
Le directeur du Collège Saint-Louis, l’abbé DE MARTELAERE Charles, propose de de mettre des locaux de son établissement, situé avenue Reine Astrid, à la disposition des équipes soignantes.
La clinique Notre-Dame (Waremme)
Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, des blessés sont à la clinique Notre-Dame:
- HEYNE Léon, cafetier, il devra subir une intervention chirurgicale à la jambe. Il sera hospitalisé jusqu’au 16 septembre 1944. Il restera infirme jusqu’à la fin de sa vie.
- LANGE Félix, avocat, il est gravement blessé à un oeil.
- GLADE Joseph, dit « Paille », il a une multitude d’éclats incrustés dans le cuir chevelu.Il sera hospitalisé jusqu’au 16 septembre 1944. Il sera handicapé jusqu’à la fin de sa vie.
René Verdin, médecin (Waremme)
Le 28 août 1944, lors du bombardement de Waremme, le jeune docteur VERDIN René assiste le docteur BOURMANNE Louis, pour soigner les blessés qui sont transporter à la clinique Notre-Dame.
On réclame une ambulance à Grand-Axhe
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière de la maison de GASPAR Léon, à Grand-Axhe, le secrétaire communal COËME Camille appelle Waremme par téléphone et demande que l’on envoie une ambulance, près de l’église, car il y a des blessés et peut-être des morts.
Un train est attaqué (Waremme – Fexhe-le-Haut-Clocher)
Le 11 (12 ?) mai 1940, à 14 h 30, un train bondé de voyageurs, en provenance de Liège, est attaqué en gare de Fexhe-le-Haut-Clocher. Quatre « Stuka » surgissent en rase-motte et larguent leurs bombes en direction de la gare et du train. La plupart des engins tombent dans les alentours de la gare, pulvérisant les vitres les maisons du quartier, mais le fourgon de queue et la dernière voiture du train sont touchés de plein fouet.
Il y a beaucoup de victimes. Des dizaines de blessés sont transportés au cabinet du docteur DEFFET Gaston, à proximité de la gare. Des corps s’alignent sur sa pelouse. Le docteur DEFFET reçoit l’aide d’un médecin militaire de passage. A deux, ils prodiguent les premiers soins et organisent le transfert vers les hôpitaux de la région.
Ce qui reste du convoi poursuit sa route vers Waremme, où les blessés graves seront pris en charge.
Les gendarmes de la brigade de Fexhe-le-Haut-Clocher doivent intervenir pour arrêter le pillage des décombres du train et obliger certains villageois à restituer des objets volés.
La Terre tremble à Waremme
Le 23 février 1828, vers 8h15, un tremblement de terre de 4 à 5 secondes secoue Waremme. De nombreuse cheminées s’effondrent. Deux statues de saints sont renversées dans l’église Saint-Pierre. Les bancs de l’école sont culbutés et les enfants s’enfuient terrorisés. Par chance, il n’y a que des blessés et personne ne perd la vie.
L’église de Berloz est très endommagée.
Hommage aux pompiers (Waremme)
Le 24 septembre 1990, le conseil communal de Waremme rend hommage aux soldats du feu qui ont eu une conduite exemplaire lors de l’incendie d’un immeuble à la rue Joseph Wauters et plus particulièrement à 5 d’entre eux qui ont été blessés lors de l’intervention.