Le 28 mai 1940, l’Armée Belge dépose les armes. 6200 soldats belges ont été tués, près de 12.000 ont été blessés. 200.000 hommes sont faits prisonniers et envoyés dans des camps
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Violent incendie rue Joseph Wauters à Waremme
Le 20 septembre 1990, un violent incendie se déclare au n° 45 de la rue Joseph Wauters à Waremme
Lorsque les pompiers pénètrent dans le grenier de l’immeuble, les flammes lèchent déjà la toiture. Une violente déflagration se produit. Une bonbonne de gaz de 13 kilos vient d’exploser, balayant cinq pompiers en intervention. Certains d’entre eux sont blessés et atteints par des projectiles divers :
- CHARLIER Michel est brûlé au premier degré aux mains
- DEBEN Christian est intoxiqué par les fumées
- ROUTTIAU Jacques est intoxiqué par les fumées
- SACRE José est intoxiqué par les fumées
- LAURENT Victor est blessé à la tête.
Ils sont immédiatement transportés à la Clinique Joseph Wauters.
Un morceau de la bonbonne a été retrouvé à plus de cent mètres de l’explosion.
Déraillement du train « Mitropa », en gare de Waremme
Le 31 août 1944, GAUNE François (ouvrier télégraphiste, chef de secteur, commandant des milices patriotiques pour le Nord de l’arrondissement de Waremme) et les époux DERYDT Alfred et (?) Pauline, membres du Front de l’Indépendance, décident de saboter à nouveau la ligne de chemin de fer, pour faire dérailler le train international D4 « MITROPA », entre le passage à niveau de la râperie de Waremme (PN 18) et le petit pont du chemin de fer vicinal qui enjambe la ligne 36.
Suite à leur échec de la veille, ils décident de tenter une nouvelle fois de provoquer un déraillement pour couper la ligne 36. Mais cette fois, ils se munissent de meilleurs outils. Leur choix s’est maintenu sur le « MITROPA », un train occupé presque exclusivement par des militaires allemands, qui regagnent leur unité, ou des personnes travaillant pour des organisations inféodées à la Wehrmacht. Il arrive cependant que l’on accroche parfois, à l’arrière du convoi, une voiture occupée par des civils belges. Ce train porte le nom de « Mitropa » (contraction de « Mittel » et de « Europa » : c’est le train international qui traverse l’Europe Centrale).
A 21h15, ils se faufilent dans le jardin de LOYAERTS Frans pour atteindre les voies. A nouveau, ils déboulonnent les tire-fonds et retirent des éclisses. Le travail est facilité par les outils mieux appropriés qu’ils utilisent. Ils courbent un rail à l’aide d’un levier, de sorte que les roues du train s’enfoncent dans le ballast, puis replacent les tire-fonds, pour le maintenir dans sa nouvelle position. Ils terminent leur travail vers 23 Heures.
A 23h24, le train arrive à hauteur de la voie sabotée, à une vitesse de 120 km/h. La première locomotive part brutalement vers la gauche, arrache son attelage, laboure la voie latérale, traverse le passage à niveau et va s’immobiliser près de la loge des poseurs de voies. La seconde locomotive accroche le tronçon de voies toujours en place, l’arrache, se couche sur le flanc et s’immobilise contre le talus. Les 6 voitures viennent s’encastrer les unes dans les autres dans un désordre indescriptible. Un wagon passe même au-delà du talus et termine sa course dans la cour de SACRE Maurice.
La catastrophe entraîne la mort de dix Allemands. 65 autres sont blessés. Les deux machinistes belges de la seconde locomotive, MOUCHERON Georges (machiniste-instructeur) et VANSOEL François, perdent également la vie. Les deux machinistes de la première locomotive, VANHOOREN Charles et THYSEN Auguste, s’en sortent vivants. Les quatre hommes sont bruxellois.
Une aide spontanée et efficace du bourgmestre JOACHIM Guillaume, ainsi que de volontaires de la Croix-Rouge, éviteront de terribles représailles allemandes sur la population civile de Waremme.
Deux trains de secours seront acheminés sur les lieux. Le premier, en provenance de Schaerbeek, transportera une grue de trop faible puissance. Aussi, un second convoi, en provenance de Liège, sera acheminé pour déblayer les décombres. Une attaque aérienne retardera les travaux: 4 chasseurs américains P47 Thunderbolth apercevront les panaches de fumée s’échappant des locomotives de secours, stationnées de part et d’autre du MITROPA. En deux passages, ils tireront plus de 1500 projectiles « 50 », qui auront raison de ce matériel, ainsi que des occupants allemands de la seconde locomotive.
Un tsunami ravage Bali
Le 17 juillet 2006, un tsunami ravage l’île indonésienne de Bali, faisant 530 morts et plus de 400 blessés. De nombreux touristes figurent parmi les victimes.
Carambolage sur l’autoroute à hauteur de Waremme
Le 1er avril 2003, un carambolage se produit sur l’autoroute, à hauteur de Waremme, en raison d’importantes giboulées de pluie et de neige. Plusieurs voitures sont impliquées dans l’accident, qui ne fait que des blessés.
Le massacre de la place « Tienanmen » (Chine)
Le 4 juin 1989, une manifestation d’étudiants, sur la place Tienanmen à Pékin, est réprimée dans le sang par les autorités chinoises. Il y a un millier de morts et des dizaines de milliers de blessés.
De nouveaux blessés arrivent à Waremme
De nombreux blessés français des sanglants combats de Hannut et de Jodoigne, sont amenés au Collège Saint-Louis de Waremme, transformé pour la circonstance en hôpital de campagne.
De nombreux blessés à Waremme
Le 12 mai 1940, les deux cliniques de Waremme, ainsi que l’antenne médicale, sont submergées de blessés civils et militaires. Les soldats français, belges et allemands sont alors unis dans la même souffrance. Les Français et les Belges sont installés dans les locaux du Collège Saint-Louis, sous la surveillance de sentinelles allemandes. Les victimes allemandes sont emmenées dans les locaux de l’Ecole Moyenne de Waremme.
Des blessés à la Clinique Joseph Wauters (Waremme)
Le 11 mai 1940, un train qui a été attaqué par la Luftwaffe arrive à la gare de Waremme. Les blessés sont amenés à la clinique Joseph Wauters. Mais il n’y a plus de médecin. Pour sauver la vie de certains d’entre eux, SERET Jeanne, dite « Madame Jeanne », procède elle-même à des amputations.
Fin 1914, la Croix Rouge s’organise à Waremme
Fin 1914, le Collège Saint-Louis ouvre ses portes à la Croix-Rouge qui y installe une antenne médicale. De nombreuses Waremmiennes se mettent à son service.
La Baronne DE SELYS-LONGCHAMPS prête son auto à la Croix-Rouge pour faire office d’ambulance. Elle fournit les légumes nécessaires à assurer la subsistance de blessés. Elle offre également d’accueillir chez elle les blessés qui ne pourraient l’être à l’antenne médicale.