Le 3 mars 1944, vers 20 heures, un attentat a lieu contre l’ancien directeur de la laiterie de Waremme Monsieur BAJARD. Il gagne le quai de la gare, pour s’embarquer vers Bruxelles, lorsque quatre coups de feu sont tirés. Un projectile l’atteint à la jambe. Il peut gagner Landen et s’y faire soigner.
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Le Groupe Zoro tente de délivrer Paul Fremder (Waremme – Allemagne)
Le 9 (10?) décembre 1943 1942 ?), les Résistants du « groupe Zoro » de DERWA Arthur, sous la direction de GATHY Armand (alias Aramis), décident de s’introduire dans la Clinique Joseph Wauters pour libérer un des leurs, FREMDER Pol (alias Pol Thonon), où il est soigné, de la blessure reçue lors de son arrestation.
Le docteur EVRARD, directeur de la clinique, fournit les renseignements utiles et les tabliers blancs que revêtiront les Résistants qui participe à l’opération.
Une fusillade éclate entre le commando et les gardiens du prisonnier. FREMDER Paul sort du lit pour rejoindre ses compagnons, mais il est abattu par un de ses gardiens allemands d’une rafale de mitraillette. Les Résistants battent en retraite.
Paul Fremder est arrêté par les Allemands (Waremme – Allemagne)
Le 9 décembre 1943, le Résistant FREMDER Paul, membre du Groupe « Zoro » de l’Armée Secrète, est intercepté par une patrouille allemande, à Momalle. Alors qu’il tente de s’enfuir à vélo, il est gravement blessé par balle, à la cuisse. Il est transporté à la clinique Joseph Wauters, à Waremme, où il est gardé par trois Feldgendarmes.
Accident près de la gare de Waremme
Le 24 novembre 1941, le jeune MARTINAUX Joseph-Louis est happé par un train près de la gare de Waremme. Gravement blessé, il est emmené à la Clinique Notre-Dame de Waremme.
Un aviateur belge abattu se dirige vers Waremme
Le 11 mai 1940, alors que l’aviation belge tente de détruire les ponts de Vroenhoven et de Veldwezelt qui n’ont pas sauté, le Gloster Gladiator du capitaine GUISGAND, est mis à mal par des Messerschmitt Me 109 allemands. Il doit se poser en catastrophe dans la campagne de Faîmes, dans le champs de betteraves du fermier VANDERMEIR Georges, sous les yeux de HUMBLET Camille, son fils HUMBLET Hubert et du domestique SEBA Joseph, qui répandent de l’engrais sur le champs d’avoine « HUMBLET ».
Ils le voient sauter de l’appareil, couvert d’huile et blessé au visage. Il prend ensuite calmement la direction de Waremme. Là, il se rend à la gendarmerie, d’où il téléphone à l’état-major de son escadrille, à Beauvechain.
Il se rend ensuite à la pharmacie « GIELEN » où on lui donne des compresses pour ses blessures au visage. Sur les conseils du pharmacien, il va prendre un petit-déjeuner à l’Hôtel « LAVAL », en face de la gare. Il y attend le véhicule de maintenance de son escadrille.
Auguste Lespineux, blessé au combat (Waremme – Ramscapelle – Furnes)
Le 30 octobre 1914, le Waremmien, LESPINEUX Auguste, soldat au 14ème de Ligne, est blessé, alors que sa compagnie est occupée à réparer le pont de Ramscapelle. Il est transporté à l’hôpital de Furnes.
Mort de Thomas-Joseph Duckers (Waremme – France)
Le 2 mai 1860, DUCKERS Thomas-Joseph décède à Waremme. C’est un vétéran du premier Empire, Chevalier de la Légion d’Honneur, décoré de la Médaille de bronze de Fidélité et de la Médaille de Sainte-Hélène. Il a participé à 17 campagnes, a été blessé 4 fois et totalise quarante années de service.
Pierre-Joseph Houbart est blessé à la bataille de Solférino (Waremme – Italie)
Du 3 mai 1859 au 7 août 1859, le légionnaire HOUBART Pierre-Joseph, originaire de Waremme, participe à la campagne d’Italie. Il est blessé à la cuisse gauche, à Solferino.
Pierre-Joseph Houbart, blessé et décoré (Waremme – Crimée)
Du 28 décembre 1854 au 10 juillet 1855, le légionnaire HOUBART Pierre-Joseph, originaire de Waremme, participe à la campagne de Crimée. Au siège de Sébastopol, il est blessé à la main gauche par un éclat d’obus. Il est décoré de la médaille militaire française.
Jean-Pierre Pirson blessé pendant la campagne d’Espagne (France – Waremme)
Le 8 janvier 1812, le Waremmien PIRSON Jean-Pierre, soldat au 3ème Régiment de Tirailleurs de la Garde impériale de Napoléon, est blessé d’un coup de feu qui lui fracture les os de la main droite, durant la campagne d’Espagne. Dans le civil, au moment de son engagement, il exerçait la profession de menuisier.