Assassinat d’André Cools (Flémalle – Liège – Belgique)

Le 18 juillet 1991, à 7h25 du matin, l’homme politique socialiste, COOLS André dit, « Le Maître de Flémalle », est assassiné de deux balles de 7.65 par deux individus, devant le domicile de sa compagne, JOIRET Marie-Hélène, sur le parking du n° 215 de l’avenue de l’Observatoire à Liège, sur la colline de Cointe. Celles-ci est également gravement blessée dans l’attentat.

La juge d’instruction ANCIA Véronique arrive rapidement sur les lieux.

L’enquête dévoilera une collusion politico-financière dans l’achat, en 1988, d’hélicoptères pour la Défense Nationale. L' »Affaire Agusta-Dassault » révèlera l’existence de pratiques illégales dans le financement des partis politiques, et notamment du PS.

Plusieurs hommes politiques de premier plan seront éclaboussés, dont le Waremmien COEME Guy.

Lambert Schoenaers, blessé (Crisnée)

En décembre 1944, la maison de SCHOENAERS Lambert, située au n° 2 de la rue des Vergers à Crisnée, est détruite par une bombe.

Il a les deux pieds écrasés par l’effondrement de l’immeuble.

Eli Fraipont, blessé (Waremme – Loncin)

En 1914, lors de l’explosion du fort de Loncin, le Waremmien FRAIPONT Eli est blessé à l’oeil et brûlé aux mains et aux jambes.

Portrait de Irène Jadot en 1945 (Waremme)

Durant la Deuxième Guerre Mondiale, JADOT Irène entre dans la Résistance. Dès 1941, elle est agent de renseignement et d’action, au service « Luc-Marc ». Durant une mission chez la Comtesse DE BORCHGRAVE D’ALTENA, au château de Lexhy, elle est blessée à la tête. Elle est opérée à trois reprises.

Elle sera reconnue invalide de guerre.

Attentat contre l’ancien directeur de la Laiterie (Waremme – Landen – Bruxelles)

Le 3 mars 1944, vers 20 heures, un attentat a lieu contre l’ancien directeur de la laiterie de Waremme Monsieur BAJARD. Il gagne le quai de la gare, pour s’embarquer vers Bruxelles, lorsque quatre coups de feu sont tirés. Un projectile l’atteint à la jambe. Il peut gagner Landen et s’y faire soigner.

Le Groupe Zoro tente de délivrer Paul Fremder (Waremme – Allemagne)

Le 9 (10?) décembre 1943 1942 ?), les Résistants du « groupe Zoro » de DERWA Arthur, sous la direction de GATHY Armand (alias Aramis), décident de s’introduire dans la Clinique Joseph Wauters pour libérer un des leurs, FREMDER Pol (alias Pol Thonon), où il est soigné, de la blessure reçue lors de son arrestation.

Le docteur EVRARD, directeur de la clinique, fournit les renseignements utiles et les tabliers blancs que revêtiront les Résistants qui participe à l’opération.

Une fusillade éclate entre le commando et les gardiens du prisonnier. FREMDER Paul sort du lit pour rejoindre ses compagnons, mais il est abattu par un de ses gardiens allemands d’une rafale de mitraillette. Les Résistants battent en retraite.

Paul Fremder est arrêté par les Allemands (Waremme – Allemagne)

Le 9 décembre 1943, le Résistant FREMDER Paul, membre du Groupe « Zoro » de l’Armée Secrète, est intercepté par une patrouille allemande, à Momalle. Alors qu’il tente de s’enfuir à vélo, il est gravement blessé par balle, à la cuisse. Il est transporté à la clinique Joseph Wauters, à Waremme, où il est gardé par trois Feldgendarmes.

Accident près de la gare de Waremme

Le 24 novembre 1941, le jeune MARTINAUX Joseph-Louis est happé par un train près de la gare de Waremme. Gravement blessé, il est emmené à la Clinique Notre-Dame de Waremme.

Un aviateur belge abattu se dirige vers Waremme

Le 11 mai 1940, alors que l’aviation belge tente de détruire les ponts de Vroenhoven et de Veldwezelt qui n’ont pas sauté, le Gloster Gladiator du capitaine GUISGAND, est mis à mal par des Messerschmitt Me 109 allemands. Il doit se poser en catastrophe dans la campagne de Faîmes, dans le champs de betteraves du fermier VANDERMEIR Georges, sous les yeux de HUMBLET Camille, son fils HUMBLET Hubert et du domestique SEBA Joseph, qui répandent de l’engrais sur le champs d’avoine « HUMBLET ».

Ils le voient sauter de l’appareil, couvert d’huile et blessé au visage. Il prend ensuite calmement la direction de Waremme. Là, il se rend à la gendarmerie, d’où il téléphone à l’état-major de son escadrille, à Beauvechain.

Il se rend ensuite à la pharmacie « GIELEN » où on lui donne des compresses pour ses blessures au visage. Sur les conseils du pharmacien, il va prendre un petit-déjeuner à l’Hôtel « LAVAL », en face de la gare. Il y attend le véhicule de maintenance de son escadrille.

Auguste Lespineux, blessé au combat (Waremme – Ramscapelle – Furnes)

Le 30 octobre 1914, le Waremmien, LESPINEUX Auguste, soldat au 14ème de Ligne, est blessé, alors que sa compagnie est occupée à réparer le pont de Ramscapelle. Il est transporté à l’hôpital de Furnes.