Le 8 août 1914 vers 13h., BRONCKART-NEYS Joseph et DELHALLE-MATHY Lambert, de Remicourt, sont sommés de s’arrêter près du Pont-Bonne, par quelques éclaireurs belges qui se déplacent dans le village pour intercepter les troupes allemandes qui y sont signalées.
BRONCKART Joseph prend peur et s’enfuit en courant. Les soldats belges, pensant qu’il s’agit d’un ennemi, ouvrent le feu. Mortellement touché, il succombera le lendemain matin.
Le 27 octobre 1914, MALCHAIR Joseph, natif de Berloz, soldat au 6ème de Ligne, décède des suites de ses blessures. Il sera inhumé à Calais.
Le 3 octobre 1918, PRINCEN Emile, natif de Hollogne-sur-Geer, soldat au 16ème de Ligne (8ème CM), décède à La Panne des suites de ses blessures. Il y sera inhumé.
En mai 1916, en Angleterre, NUCKETT Caroline et NUCKETT Maud soignent le soldat de Crisnée, blessé, DEFALLE Walthère.
En 1983, LEDUC Jacques, de Crisnée, âgé de 19 ans, est victime d’un accident de la route sur la Grand-Route, à Villers l »Evêque. Il survivra à ses blessures.
En 1956, le petit LOOS Francis, de Crisnée, âgé de 8 ans, est victime d’un accident de la route sur la Grand-Route près de la rue Favray à Crisnée. Il survivra à ses blessures.
En 1939, BOLLAND Marie-Elisabeth, dite « Soeur Marie-Vincent », native de Crisnée, religieuse au couvent de l’Enfant-Jésus à Nivelles, décède à la clinique de Louvain, suite aux blessures à la main, causées par un coq, et qui ont provoqués des abcès au cerveau.
En 1645, HANOSSEZ Louis-Rigaul est blessé à Thys. Il décèdera de ses blessures.
Le 18 août 1914, à 6h. du matin, des automobiles de l’armée belge arrivent à Waremme. Les militaires embarquent les 22 Allemands blessés, parmi lesquels des officiers, et les conduisent à Louvain, Anvers et, de là, en Angleterre.
En 1914, MASY Joseph de Darion est blessé au Fort de Loncin.
(Il sera hospitalisé et soigné au Collège Saint-Louis de Waremme, transformé en hôpital militaire. Il rentrera chez ses parents, avant de passer le frontière hollandaise, pour se rendre en Angleterre et rejoindre ses camarades sur le front de l’Yser)