Incendie à la firme Verbockaven (Waremme)

En janvier 1958, une nuit, un violent incendie détruit les locaux de la firme « VERBOCKAVEN », installée à l’angle de la rue des Fontaines et de la rue Sous-le-Château à Waremme. Cette société de bois, carrelages, revêtements, matériaux de construction et de décoration, avait repris les activités des établissements « Henri Joachim ».

Les Transports Moermans (Waremme)

En 1941, La Maison de transports MOERMANS A. est installée au n° 47 de la rue Hubert Krains à Waremme. Pour ses transports, elle utilise une charrette hippomobile. A cette époque, utiliser une automobile ou un camion relève de la gageure. Sauf de très rares autorisations, l’essence est introuvable. Il faut rouler au « gazogène », système compliqué et encombrant, fonctionnant au bois, charbon de bois ou charbon.

Les stocks de bois recensés par les Allemands (Waremme – Allemagne)

Le 1er octobre 1915, le commandant « Rittmeister » BERG demande que l’on recense les stocks de bois chez les marchands et les entrepreneurs, ainsi que dans les scieries de Waremme. Ceux qui possèdent ces stocks doivent les tenir à la disposition de l’occupant. Ils ne pourront en vendre qu’avec la permission du général du corps ingénieur auprès du gouvernement.

Dépenses à Waremme

En 1771, la ville se fait livrer 22 chartées et 4 chariots de sable pour la réfection des pavés ; elle commande également des briques, du bois, une corde pour la cloche de la ville ; elle fait entretenir le puits de la cité.

Elle verse les rentes du secrétaire BOUX, des échevins, du commissaire DANGLEUR, des conseillers et la pension du Bourgmestre STRACMAN Mathieu.

Les temps sont durs à Waremme

Au 11ème siècle, l’intégration de Waremme à la Principauté de Liège correspond à une période difficile. Le fer est devenu un métal très rare. Les outils sont faits de bois et d’os d’animaux.