Le 10 (24?) mai 1940, le soldat GENIE Léon, de Viemme, est tué dans un bombardement.
Archives par mot-clé : bombardement
Le centre de Waremme toujours défiguré
En février 1947, le centre de Waremme présente toujours des plaies béantes, séquelles du bombardement du 28 août 1944.
Des avions vers l’Allemagne
En mai 1944, jusqu’un millier d’avions alliés survolent quotidiennement la Hesbaye pour aller bombarder l’Allemagne.
Armand Jacob participe au déblaiement des décombres (Waremme)
Le 29 août 1944, l’agriculteur de la rue Hubert Krains, JACOB Armand, aide à transporter les décombres du bâtiment WERY, détruit lors du bombardement de Waremme, avec son cheval Carmen du Chapitre.
Des bombes sur Lantremange
Le 11 mai 1940, après 16 heures, six bombes tombent sur Lantremange.
L’usine « Landrain » bombardée (Momalle)
Le 10 (11 ?) mai 1940, une bombe tombe sur l’usine d’engrais « LANDRAIN », près de la gare de Momalle.
Un avion abattu (Grandville)
Le 11 mai 1940, un bombardier français « Léo 45 », décolle de l’aérodrome de Clastres, près de Saint-Quentin, avec quatre membres d’équipage, pour aller bombarder les ponts du Canal Albert (Vroenhoven et Veldwezelt). Vers 18 heures, il touché par l’artillerie antiaérienne allemande, aux environs de Tongres. Il tente de faire demi-tour, mais il perd de l’altitude au-dessus d’Oreye. Deux membres de l’équipage parviennent à sauter en parachute:
(L’adjudant MOQUELET se tuera en tombant près de Grandville. L’opérateur radio, l’adjudant NATTA Maurice, s’en sortira quasi-indemne. Il sera fait prisonnier par les Allemands.)
L’avion vole tellement bas que son train d’atterrissage accroche les caténaires de la ligne de tramway. Il s’écrase au carrefour « Ramkin », à Grandville, derrière le garage de FILIPPINI Jean.
(Le canonnier, le sous-lieutenant JAQUET périra sur le coup. Le pilote, le sous-lieutenant MOREL René s’en sortira gravement brûlé sur tout le corps. Sorti de l’épave, il sera transporté dans une maison du voisinage, chez GILLES Auguste, et soigné par la fille de la maison, GILLES Nelly, et le Docteur FANIELLE, de Liège, réfugié à Oreye. Il décèdera 2 jours plus tard.)
Le terrain d’aviation de Jeneffe est attaqué
Le 10 mai 1940, vers 14h30, cinq « Heinkel » allemands attaquent les avions belges qui se trouvent sur le terrain d’aviation de Jeneffe: neuf « Fox-Hispano » de l’escadrille de reconnaissance de Gossoncourt. Moins d’une demi-heure plus tard, onze Messerschmitt Me-109 allemands mitraillent les avions belges. Sept d’entre-eux flambent. Les deux autres sont inutilisables.
Les victimes de l’attaque du train, au cimetière (Waremme – Fexhe-le-Haut-Clocher)
Le 12 mai 1940, lorsque les dépouilles des victimes du bombardement du train de Fexhe-le-Haut-Clocher, sont identifiées dans le bâtiment réservés aux marchandises, à la gare de Waremme, elles sont transportées à la morgue du cimetière ou à proximité (car le local s’avère rapidement trop exigu).
Ces identifications sont effectuées par NAHON Joseph et HOUBREXHE Joseph, dit « Djèf ».
Les blessés du train de Fexhe (Waremme – Fexhe-le-Haut-Clocher)
Le 11 mai 1940, vers 16 heures, le train qui a été bombardé en gare de Fexhe-le-Haut-Clocher, plus tôt dans la journée, arrive en gare de Waremme.
Les victimes sont extraites du train et allongées provisoirement dans les locaux de la gare, réservés aux marchandises. Les nombreux blessés sont emmenés dans les cliniques et centres médicaux de la ville (des blessés sont accueillis au Centre Médico-Chirurgical que l’Armée a ouvert à l’Ecole Moyenne), mais ils sont rapidement saturés.
Le directeur du Collège Saint-Louis, l’abbé DE MARTELAERE Charles, propose de de mettre des locaux de son établissement, situé avenue Reine Astrid, à la disposition des équipes soignantes.