Fernand Lambert (Petit-Axhe)

Le 28 août 1944, pendant le bombardement de Waremme et de Grand-Axhe, LAMBERT Fernand se réfugie dans la tranchée de la prairie « FASTRE » à Petit-Axhe. Après celui-ci, il se rend dans le centre de Waremme, pour participer aux secours.

Il est marchand de charbon. Il est membre de la Protection Antiaérienne Passive. Il est membre de la fanfare cycliste « L’Agrément de la Pédale ».

La clinique Notre-Dame (Waremme)

Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, des blessés sont à la clinique Notre-Dame:

  • HEYNE Léon, cafetier, il devra subir une intervention chirurgicale à la jambe. Il sera hospitalisé jusqu’au 16 septembre 1944. Il restera infirme jusqu’à la fin de sa vie.
  • LANGE Félix, avocat, il est gravement blessé à un oeil.
  • GLADE Joseph, dit « Paille », il a une multitude d’éclats incrustés dans le cuir chevelu.Il sera hospitalisé jusqu’au 16 septembre 1944. Il sera handicapé jusqu’à la fin de sa vie.

René Verdin, médecin (Waremme)

Le 28 août 1944, lors du bombardement de Waremme, le jeune docteur VERDIN René assiste le docteur BOURMANNE Louis, pour soigner les blessés qui sont transporter à la clinique Notre-Dame.

Marthe Gaspard, rescapée (Grand-Axhe)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière de la maison de GASPARD Léon et BALTAZAR Eugénie, à Grand-Axhe, celle-ci est sortie des décombres par les sauveteurs.

Les recherches se poursuivent pour retrouver la fille de la famille, GASPARD Marthe, qui se trouvait également dans la maison. Finalement, les secouristes entendent sa voix. Elle est bloquée dans la cave. Après de longs efforts, ils parviennent à la dégager. A part quelques ecchymoses, elle semble indemne.

Mort d’Eugénie Balthazar (Grand-Axhe – Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière de la maison de GASPAR Léon, à Grand-Axhe, et la découverte de BALTAZAR Eugénie dans les décombres, PEETERMANS Willy arrive de Waremme avec son camion. Malgré le peu de chance de survie de la victime, on décide de la transporter à Waremme. Elle décède durant ce transport.

eugénie baltazar

eugénie baltazar

Les secouristes s’activent à Grand-Axhe

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière de la maison de GASPAR Léon, à Grand-Axhe, plusieurs personnes recherchent des rescapés dans les décombres:

  • GERONDAL Joseph
  • BENAETS Amand
  • LATINNE Marcel
  • JOANNES Joseph

Peu de temps après, d’autres viennent leur prêter main-forte:

  • RIGA Armand
  • LHOEST Léopold
  • DUCHENE Joseph
  • DEJARDIN Hyacinthe
  • FONTAINE Ignace, futur vétérinaire

L’épouse de GASPARD Léon, BALTAZAR Eugénie, est rapidement retrouvée, à l’arrière du bâtiment, à peine recouverte d’un peu de plâtras. Elle ne présente aucune blessure apparente, mais son pouls est très faible. L’abbé COLLINS lui administre les derniers sacrements.

On réclame une ambulance à Grand-Axhe

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière de la maison de GASPAR Léon, à Grand-Axhe, le secrétaire communal COËME Camille appelle Waremme par téléphone et demande que l’on envoie une ambulance, près de l’église, car il y a des blessés et peut-être des morts.

On recherche Henriette Perqui et les soeurs Servais (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis et de l’atelier de couture PERQUI, rue Gustave Renier à Waremme, les sauveteurs qui ont extrait JOIRQUIN Dédée des décombres sont épuisés. D’autres prennent le relais pour retrouver PERQUI Henriette, MALAXHE (MALASCHE) Marie, SERVAIS Odette et SERVAIS Georgette, qui se trouvaient également dans cet immeuble. Ses sauveteurs sont:

  • LANDRAIN André
  • MOËS François
  • MAHIELS Arnold
  • DENGIS Alfred
  • LEGROS Camille

Après de longues et pénibles recherches, ils dégagent successivement les corps sans vie de:

  • SERVAIS Odette
  • PERQUI Henriette
  • MALAXHE (MALASCHE) Marie
  • SERVAIS Georgette

Mort de Charlotte François (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier, FRANCOIS Charlotte, l’épouse de RENIER Camille, est retrouvée morte dans sa cave. C’est de cette cave qu’est extraite, en vie, MASSET Clara.

Clara Masset, extraite des décombres (Waremme)

Le 28 août 1944, lors de l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier à Waremme, WUIPIEDS Emile, dit « Le Poilu », n’est pas chez lui. Il est à Bettincourt. Par contre, sa femme, MASSET Clara, a trouvé refuge dans la cave voisine des RENIER.

Après l’explosion, ses frères MASSET Marcel et MASSET Jules, ROUA Joseph, VANOPPEN Lucien et DEBROUX Georges s’activent pour la sortir des décombres.

Elle est conduite sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Les brancardiers doivent se relayer plusieurs fois, en raison de son obésité.