Le 2 Floréal de l’An V (21 avril 1797), le couvent des Récollets de Waremme, l’église, le jardin et une prairie d’un bonnier 15 verges grandes 13 verges petites est adjugé au citoyen MATHY G. J., ancien religieux du couvent, pour 12.150 francs.
Le 23 janvier 1767, une plainte est introduite contre le Duc DE CORSWAREM – LOOZ Joseph-Philippe, devant la Cour de Justice de Corswarem, par son parent DE CORSWAREM Guillaume-Joseph, à propos de la possession:
gisant sous la juridiction et hauteur de Corswarem.
Le 22 juin 1254, DE JENEFFE Marguerite donne à l’abbaye de la Paix-Dieu à Jehay-Bodegnée:
Au Moyen-Âge, le bonnier est une mesure liégeoise qui correspond à 87 ares 17 centiares.
Le 8 août 1626, DE BEAURIEU Wathier (Wathieu ?) donne, à bail perpétuel à l’abbaye Saint-Laurent de Liège:
En contrepartie, l’abbaye Saint-Laurent lui sera redevable:
En 1712, un édit du Prince-Evêque de Liège prescrit que pour tenir un pigeonnier en Hesbaye, il faut « posséder un héritage de 5 bonniers à la saison, faisant 15 bonniers de terres labourables » (cette mesure vise à protéger les semis et les récoltes des terres voisines).
(Posséder des pigeons est donc un privilège réservé aux nantis)
Note: 1 bonnier = 87 ares
Le 11 décembre 1377, devant la cour des tenants de Crisnée, l’avoué de Crisnée, DE CRISNEE Jean 1er, donne en trenscens, au clerc DE HAVELANGE Guillaume demeurant en Souverain-Pont à Liège, un bonnier de terre sis à Crisnée.
En 1680, un rapport de la Cour de Justice de Hemricourt constate que:
Un setier de froment vaut 8 florins brabant; un setier d’avoine vaut 35 patars.
A Remicourt, un bonnier de terre se vend 800 florins.
Le 21 août 1797, l’ancien couvent des Récollets, ses dépendances et l’enclos attenant de 1 bonnier 25 verges est vendu comme bien public, pour 12.500 livres (la valeur des seuls bois de charpente !). L’acquéreur est LAGASSE W.
Le 9 juillet 1437, LE MERCIER Henry de Waremme et QUAREMME Jean, aussi mercier à Waremme, transportent (vendent) à DE GERRE Liber (Président de la cour) demeurant à Lantremange, et à HENDRICE, clerc demeurant à Horion, un demi bonnier de terres, situées dans la juridiction de Waremme, au-dessus de Hariange (Hartenge), assez près du chemin qui va de cet endroit à Waremme.
La transaction s’effectue devant la Cour des Tenants de Waremme, composée de: