Les fermes de Remicourt

En 1830 (?), à Remicourt, 7 grosses fermes détiennent 420 bonniers de terres cultivées, alors que les petits exploitants, ensemble, n’en détiennent que 57 bonniers.

Pascal Brassinne « Le Vieux » (Remicourt)

En 1750, BRASSINNE Pascal (Paschal ?), dit « Le Vieux », fils de BRASSINNE Jean, possède 38 bonniers de terres à Remicourt.

La ferme du Val Saint-Lambert (Momalle)

Vers 1796, l’Abbaye du Val Saint-Lambert de Liège possède une ferme et 77 bonniers de terres à Momalle (Pissoule).

La ferme du Val Saint-Lambert (Momalle)

En 1502, l’Abbaye du Val Saint-Lambert de Liège possède une ferme et 60 bonniers de terres à Momalle (Pissoule).

Mariage de Libert de Warfusée et d’Agnès d’Awir

Vers 1130 (?), DE WARFUSEE Libert, dit « Sureal », fils de DE WARFUSEE Othon, épouse D’AWIR Agnès, une proche voisine, fille de D’AWIR Hugues (mort quand elle était fort jeune). Par ce mariage, ils joignent deux patrimoines importants.

DE WARFUSEE Libert succède donc à D’AWIR Hugues dans la possession de toutes ses terres. Par ce mariage les fortunes considérables de chacun des époux sont réunies.

Ensemble, Libert et Agnès vont acquérir les villages et Seigneuries de Jeneffe, de Limont, de Lexhy, d’Awans, de Waroux, de Loncin, …, ainsi que 200 bonniers de terre.

Ils n’auront qu’une fille, DE WARFUSEE Alix. 

Remarque: le surnom de « Sureal » lui a été donné parce qu’il est maigre comme un hareng saur.

Quelques propriétaires de terres à Momalle

En 1727, quelques propriétaires terriens, à Momalle:

  • le bourgmestre y possède 5 bonniers de terres
  • le mayeur, 13 verges
  • LUCAS, 1 bonnier et 5 verges

Le contrat de mariage de Arnould de Chaumont et d’Alice de Hermalle (Hesbaye)

Le 12 octobre 1318, le contrat de mariage entre DE CHAUMONT Arnould et DE HERMALLE Alice est signé entre le marié et DE HERMALLE Henri, père de la mariée, au château de Huy.

Quelques clauses de ce contrat:

  1. DE HERMALLE Henri reconnait avoir donné à DE CHAUMONT Arnould, en vue de ce mariage, 200 livrées de terre, à percevoir chaque année en gros tournois de France sur divers biens. Ceux-ci comprenant notamment: – 30 bonniers de terre arable au lieu-dit « Malaise dalets Verme ». Les revenus de chaque bonniers étant estimés à 3 muids d’épeautre. Le muid valant alors 10 sous tournois, ce total de 90 muids d’épeautre équivaut en argent à 45 livrées. Sont également mentionnés, la dîme de Seroncamp, valant annuellement 120 muids d’avoine, soit 60 livrées de terre. La menue dîme de ce même lieu, estimée à 15 livrées par an. 14 bonniers de prés sis à Ombrai, qui représentent 60 livrées. Enfin, 60 bonniers de bois sis sur le cours de la Meuse, près d’Engis, estimés à 20 livrées. – DE CHAUMONT Arnould pourra jouir, dès à présent, de ces 200 livrées et, au cas où DE HERMALLE Alice décèderait avant lui, sans lui avoir donné d’héritier, il les détiendra jusqu’à la fin de sa vie.
  2. De même, si DE HERMALLE Alice meurt avant DE CHAUMONT Arnould et qu’ils n’ont pas eu d’héritier légitime, l’avoué de Hesbaye recevra 200 autres livrées de terre, perçues en gros tournois sur l’ensemble de l’héritage que DE HERMALLE Henri tient de son premier mariage. DE CHAUMONT Arnould ne pourra en bénéficier qu’après la mort de son beau-père. En attendant, il devra se contenter de la rente mentionnée au point 1.
  3. DE CHAUMONT Arnould concède à sa future épouse, à titre de douaire, toute l’avouerie de Hesbaye. Aigremont avec son château, Awirs, Fexhe-le-Haut-Clocher; Chaumont avec son manoir, ainsi que Ghistoul, dont la justice et la seigneurie sont également tenues en fief de l’Evêque de Liège. En cas de décès de DE CHAUMONT Arnould, DE HERMALLE Alice pourra en jouir pour le restant de ses jours. Toutefois, si le couple n’a pas eu d’enfants, le plus proche héritier de DE CHAUMONT Arnould pourra récupérer les biens constituant le douaire, à condition de laisser à la veuve une rente de 800 livrées de terre assignée sur ces mêmes biens.
  4. Les parties s’accordent encore que si DE CHAUMONT Arnould et DE HERMALLE Alice meurent sans hoirs, l’ensemble de leur héritage revienne au plus proche parent, de chaque côté.

Mariage de Guilleaume Gonthier (Hemricourt)

Le 21 avril 1603, GONTHIER Libert donne, la ferme dite « du Tombeur » à Hemricourt, à son fils GONTHIER Guilleaume, en subside de mariage. Celui-ci va épouser PIRON Isabeau de Roloux.

La ferme a une superficie d’environ 60 bonniers.

La ferme du Tombeur (Hemricourt)

En 1564, la ferme dite « du Tombeur », à Hemricourt, appartient à GONTHIER Libert, fils de GONTHIER Libert. Sa superficie est de 54 bonniers.