Les pompiers de Waremme

En mai 1940, la brigade des pompiers de Waremme.

WEBER Jean-Baptiste est le commandant des pompiers de Waremme.

Ses hommes sont tous volontaires :

  • DELLEUZE Hubert (son adjoint, marchand de la rue Joseph Wauters)
  • ROUA Joseph, dit « Djède Libon » (menuisier et guérisseur à ses heures)
  • PARATE Joseph (opérateur du cinéma « Les Variétés »)
  • VANOPPEN Lucien (garagiste de la rue Sous-le-Château)
  • CLAES Albert (boucher)
  • TINLOT Alphonse (cordonnier et marchand de chaussures de la rue Hubert Stiernet)
  • BOTTIN Guillaume (concierge de l’Hôtel de Ville). C’est ce dernier qui est chargé de faire tinter le clocheton en cas de sinistre, pour alerter les autres pompiers.

La brigade est équipée d’un matériel vétuste, mais qui a fait ses preuves en maintes occasions. La grande échelle mobile et la pompe à bras sont les ustensiles les plus couramment utilisés.

Les professions exercées à Waremme

En 1906, les professions exercées à Waremme sont les suivantes :

  • 4 agents d’assurances
  • 6 peintres marchands de couleurs
  • 5 arpenteurs
  • 2 marchands d’engrais et de guano
  • 11 bouchers et marchands de bestiaux
  • 8 marchands de farine et de tourteau
  • 9 boulangers-pâtissiers
  • 2 marchands de fer
  • 3 bourreliers
  • 7 marchands de graine et semence
  • 3 brasseurs
  • 2 marchands de vélos
  • 12 cabaretiers
  • 3 maréchaux-ferrants
  • 3 charrons
  • 4 médecins
  • 2 ciriers
  • 6 menuisiers
  • 4 coiffeurs-barbiers
  • 2 meuniers
  • 6 cordonniers
  • 4 négociants en genièvre
  • 9 cultivateurs
  • 2 notaires
  • 7 marchands de denrées coloniales
  • 4 pharmaciens
  • 3 gardes-champêtre
  • 1 sage-femme
  • 1 géomètre
  • 3 serruriers-poëliers
  • 1 greffier
  • 2 siroperies
  • 2 horlogers
  • 2 sucreries
  • 2 hôteliers
  • 4 tailleurs
  • 1 huissier
  • 2 tanneurs
  • 3 imprimeurs
  • 2 taxis
  • 3 titres de journaux
  • 1 tonnelier
  • 1 juge de paix
  • 2 tourneurs en bois
  • 2 maçons
  • 1 vétérinaire
  • 9 marchands d’aunage
  • 3 vitriers
  • 3 marchands de bois
  • 1 vannier
  • 2 marchands de bouchons
  • 2 marchands de clous.

Les professions exercées à Waremme

En 1856, les professions exercées à Waremme sont les suivantes :

  • 1 agent d’assurances
  • 1 inspecteur cantonal d’enseignement primaire
  • 1 agent des domaines
  • 1 instituteur
  • 1 arpenteur juré
  • 1 jardinier
  • 1 berger
  • 64 journaliers
  • 1 blatier
  • 1 juge de paix
  • 2 bouchers
  • 11 maçons
  • 2 boulangers
  • 3 marchands
  • 1 bourrelier
  • 1 marchand de grains
  • 2 brasseurs
  • 4 maréchaux-ferrants
  • 3 cabaretiers
  • 5 médecins
  • 5 charpentiers
  • 16 menuisiers
  • 1 charron
  • 3 meuniers
  • 1 chef de gare
  • 16 négociants
  • 1 cirier
  • 3 notaires
  • 1 clerc de notaire
  • 1 orfèvre
  • 1 commissaire de district
  • 4 ouvriers SNCB
  • 1 Cordonnier
  • 1 peintre
  • 1 cuisinière
  • 3 pharmaciens
  • 26 cultivateurs
  • 1 receveur
  • 6 cultivateurs
  • 2 serruriers
  • 1 employé SNCB
  • 2 tanneurs
  • 1 gendarme
  • 1 tonnelier
  • 1 greffier de paix
  • 1 vétérinaire
  • 1 huissier
  • 1 vitrier
  • 1 ingénieur civil

Changement à la boucherie Dubois (Waremme)

Le 1er janvier 1973, DUBOIS André-Charles reprend la boucherie de son frère, DUBOIS Albert, au n° 2 de la rue Hubert Stiernet à Waremme.

Les époux Colon se lancent dans la sauce (Waremme)

En 1962, les époux COLON, anciens restaurateurs, se lancent, à Waremme, dans la fabrication de sauce pour le filet américain, qu’ils vendent aux bouchers de Waremme et de la région.

L’abattage des bêtes (Waremme)

En 1925, lorsqu’un boucher abat et découpe un porc au domicile d’un client à Waremme, il demande 2 francs et reçoit un demi-kilo de viande. De plus, il reçoit les soies de la bête, qu’il peut revendre à un prix qui peut parfois atteindre 80 francs le kilo.

Léon Charlier, champion de lutte (Waremme)

En 1924, le « gros » CHARLIER Léon de Waremme, ou comme disent certains de ses amis « Li Grosse Tièsse », remporte le championnat de Belgique pour amateurs, de lutte gréco-romaine. Il le remportera à 27 reprises. Dans le « civil », il est boucher.

Le boucher Goffart (Waremme)

En 1894, le boucher GOFFART et son épouse tiennent un étal situé rue de la Station à Waremme, qui deviendra avenue Reine Astrid.

Jean Goffart, boucher (Waremme)

En 1888, la boucherie de GOFFART Jean est établie rue de la Station à Waremme, qui deviendra l’avenue Reine Astrid.

Transactions immobilières (Waremme)

Le 12 mai 1430, SANDRE, le boulanger de Waremme, exhibe copie du testament de feu CORIN Thiry, boucher de Hodeige, déclarant que celui-ci laisse neuf verges grandes de terres situées dans l’alleu de la Haute Cour de Waremme. Mathieu et Tbyrions, respectivement frère et enfant du feu DE HODEIGE Corin, affirment sous serment que le défunt a réellement laissé ces terres par testament audit SANDRE.

La Cour confirme la propriété des terres. SANDRE transporte (vend) ensuite à dame DE LONCHAMPS Hedwige demeurant à Waremme, stipulant pour Helwy sa cousine, fille légitime de feu DE WAREMME Jean, boulanger, les susdites neuf verges de terres, situées à Waremme, au lieu-dit « La Chapelle » et jouxtant la terre des héritiers du chevalier DE LAMINES Raes.

La transaction s’effectue devant la Haute Cour de Justice de Waremme, composée de:

  • DE FERME Robert, mayeur de Waremme et président de la Cour.
  • DE MUHIN Rigaulz, membre et échevin
  • DE LONGCHAMPS Jean, membre et échevin
  • THOBAI Jean le jeune,
  • DE JONDOGNE Jean, de Lantremange