En décembre 2023, la société « Géosphère » est désignée pour réaliser un diagnostic de la situation de Waremme, dans le cadre de la lutte contre les inondations et les coulées de boue, afin de réaliser des travaux nécessaires.
En 2023, environ 1000 arbustes sont plantés sur 900 mètres de la rue Coâde, à Lens-Saint-Servais (Geer) pour permettre de retenir les terres et dévier les eaux de ruissellement. Il s’agit d’un chemin de remembrement, entouré de champs, jusqu’alors sujet aux coulées de boue.
Le 14 février 1850, l’étang de l’Ermitage est curé de ses boues à Longchamps.
Le 21 juillet 1875, WERY Alexandre enlève la boue du Geer, devant le château de Longchamps.
En novembre 1946, des chemins empierrés doivent être pavés à Waremme, car ils sont boueux en hiver et poussiéreux en été:
Le coût des travaux est estimé à 2,5 millions de francs.
En 1965, les Waremmiens THONON Joseph et RENKIN André terminent leur premier rallye automobile, englués dans la boue d’un champs.
Vers 1935 (?), les décanteurs de la râperie de Waremme sont situés en bordure de la rue des Prés. Ils sont constitués de bassins successifs. Les eaux usées de la râperie passent de l’un à l’autre, y déposant une boue noirâtre, pour finalement se déverser dans le Geer, à hauteur du pont de la rue du Moulin.
En 1866, de nombreux habitants de Waremme se plaignent, auprès des autorités communales, de l’insalubrité des rigoles, remplies de boue et d’immondices, dans les rues de Huy (qui deviendra rue Joseph Wauters), de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid) et du Moulin. Ils déclarent que se sont de véritables cloaques qui exhalent des miasmes fétides.