Le 22 janvier 1733, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme condamne le « Roy », BOUX Beauduin, à une amende pour avoir fait scandale en public. MARNEFFE Jacques, bourgeois de la ville, est nommé Valet de Chambre de la Confrérie.
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Construction de la chapelle « Saint-Pierre » (Waremme)
En 1711, l’abbé STEPHANI François, vicaire et prémissaire de Waremme depuis 46 ans, entreprend de faire construire une chapelle en l’honneur de Saint-Pierre, patron de la ville, « hors de la porte sur le chemin royal de Waremme à Saint-Trond, à l’endroit où son image a été reposante depuis un temps immémorial », au lieu-dit « A la Voye Saint-Pierre ». Les fonds nécessaires ont été fournis par quelques pieux bourgeois et surtout par le conseiller (communal ?) VANDER HEYDEN A BLISIA.
Le conseil de la ville a donné l’autorisation nécessaire à cet effet et s’engage à entretenir la chapelle aussi longtemps qu’elle subsistera.
(Elle sera reconstruite au 20ème siècle, en style plus moderne, suite aux dommages subis lors d’un accident de la circulation)
Certains Waremmiens n’ont pas rempli leur rôle !
En novembre 1691, plusieurs bourgeois se plaignent auprès du Conseil communal de Waremme de ceux qui étaient chargés de monter la garde aux portes de la ville, mais qui n’avaient pas rempli ce rôle, permettant aux troupes françaises de pénétrer facilement dans la ville et d’y bouter le feu.
La ville de Waremme ne servira plus à boire les jours d’élection
Jusqu’en 1664, la ville servait, à ses frais, à boire aux bourgeois les jours d’élection. A partir de cette année, le Conseil communal de Waremme décide de mettre fin à cet usage, en raison des excès qui en suivaient. Dorénavant, on donnera un escalin à chaque bourgeois.
Les habitants doivent balayer les rues (Waremme)
En 1659, le conseil de la ville fait publier au son du tambourin une ordonnance, en vertu de laquelle les bourgeois de Waremme sont tenus de balayer les rues le samedi.
La défense de Waremme se réorganise
Le 1er mars 1595, le Conseil de la ville édicte un règlement : la confrérie Saint-Sébastien des arbalétriers de Waremme ne suffisant pas à défendre la ville, tous les bourgeois sont astreints à prendre les armes et à monter la garde le jour comme la nuit.
Les bourgeois incapables de porter les armes, ainsi que les femmes veuves, sont frappés d’une taxe spéciale pour subvenir aux frais et nécessités des gardes.
La lèpre frappe à Waremme
En 1591, MAKAR Arnuld, bourgeois natif de Waremme, est suspecté d’avoir contracté la lèpre. Le Conseil de la ville décide de le faire examiner à Liège, au dispensaire de Cornillon. C’est BEYNE Robert qui est chargé de l’y conduire. L’examen confirme qu’il est bien atteint de la terrible maladie. Au retour de ce voyage un peu spécial, les deux bourgeois BEYNE Robert et MAKAR Arnuld, soupent à l’Hôtel delle Taxhe.
Réunion à l’Hôtel de l’Ange (Waremme)
Le 29 septembre 1590, les bourgeois de la ville chargés de vérifier les comptes de l’hôpital se retrouvent à l’hôtel de l’Ange.
Waremme est à nouveau inquiétée par Alexandre Farnese
Les bourgeois de Waremme ne doivent pas verser de « tonlieu » à Saint-Trond
En 1480, une contestation surgit entre Waremme et Saint-Trond sur le point de savoir si les bourgeois de Waremme sont tenus à payer un droit de tonlieu à Saint-Trond. La Cour de Justice de Liège déclare qu’ils n’y sont pas tenus.