Jacques Chabot, bourgmestre faisant-fonction (Waremme)

En 1993, le Waremmien CHABOT Jacques succède à HANOT Rita à la fonction de bourgmestre faisant-fonction de Waremme.

Henri Monjoie, malade (Waremme)

henri monjoie

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A partir de 1965, le bourgmestre faisant-fonction MONJOIE Henri, malade, est de plus en plus souvent absent du Conseil Communal de Waremme.

Henri Monjoie, retraité « actif » (Waremme)

henri monjoie

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En octobre 1954, MONJOIE Henri est retraité de la Régie des Téléphone et Télégraphe (RTT). Il peut, dès lors, devenir bourgmestre faisant-fonction de Waremme. Il occupera cette fonction jusqu’en 1969.

Henri Monjoie payera Doyen (Waremme – Liège)

henri monjoie

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Le 9 novembre 1962, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, MONJOIE Henri, déclare qu’il est temps que l' »affaire Doyen » se termine et demande au conseil communal de consentir un emprunt sur 20 ans pour payer la somme de 934.349 francs fixée par la Cour d’Appel de Liège en juin 1962, bien inférieure à celle de 5.510.262 francs qui avaient été initialement établie en 1950.

La Ville condamnée (Waremme – Liège – Allemagne – Etats-Unis)

Le 8 juin 1950, la Cour d’Appel de Liège condamne la ville de Waremme à payer 5.510.262 francs de dommages et intérêts à DOYEN Camille, en réparations des dommages causés par la population à la fin de la Première Guerre Mondiale.

La moitié de cette somme représente les intérêts depuis 1932, date à laquelle le Tribunal des Dommages de Guerre a débouté la famille DOYEN.

Devant la Cour, les « DOYEN » ont invoqué un décret du 10 Vendémiaire de l’An IV (le 2 octobre 1795) qui règle la police dans les communes. Ce décret stipule qu’en cas d’émeutes et de dommages, les autorités communales sont tenues pour responsables et doivent payer les dégâts occasionnés. DOYEN Camille a ajouté que le bourgmestre faisant-fonction, JOACHIM Guillaume, n’a rien fait pour protéger ses établissements de la vengeance populaire.

La ville de Waremme, quant à elle, a déclaré que la gendarmerie n’était pas encore rétablie et que, par conséquent, il lui a été impossible de maintenir l’ordre. De plus, elle a insisté sur le fait que la population a été excitée par les soldats alliés présents. Or, ce même décret de 1795 prévoit que, si les émeutes ont été provoquées par des membres extérieures à la « communauté villageoise », les autorités communales sont dispensées de dédommager les victimes.

Brochure récapitulative (Waremme)

En 1957, le collège communal de Waremme publie une brochure: « Rapport du Collège échevinal sur la gestion des affaires communales de 1947 à 1957. Le rédacteur est le bourgmestre faisant-fonction, MONJOIE Henri.

Une « Garde Bourgeoise » (Waremme)

Le 13 novembre 1918, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, JOACHIM Guillaume, institue une « garde bourgeoise » pour assurer la sécurité de la population. En effet, la gendarmerie n’est pas encore de retour dans la ville.

Cette garde est composée d’hommes âgés de 21 à 45 ans. En sont exemptés les médecins, les pharmaciens, les prêtres, les religieux, les malades et ceux qui en sont empêchés par leur profession.

Le bourgmestre déclare que ce service est obligatoire et que des peines sont prévues en cas d’absence injustifiée.

Le rationnement se durcit (Waremme)

Le 30 janvier 1915, face à la dégradation de la situation, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, JOACHIM Guillaume, prend un nouvel arrêté stipulant qu’à partir du 1er février, la population ne pourra obtenir que 225 grammes de farine ou 300 grammes de pain, par personne et par jour.

Les « Accapareurs » visés (Waremme)

Le 5 avril 1915, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, JOACHIM Guillaume, rappelle aux « accapareurs » que le commerce libre des céréales est interdit. Il publie une liste de négociants, leurs excédents de céréales et la destination de ceux-ci selon le plan de rationnement.

Le pain doit rester à Waremme

Le 11 septembre 1914, le bourgmestre de Waremme Faisant-fonction, JOACHIM Guillaume, prend un arrêté interdisant l’exportation de pain et de farine hors de la commune.

Toute denrée transportée de manière illicite sera saisie au profit du Comité local de Secours.

Le prix du pain est fixé à 30 centimes le kilo.