De 1991 à 1999, le brasseur de Waremme, MOUREAU Georges, est président de la Chambre Belge du Négoce.
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Magasin à la brasserie Moureau (Waremme)
En (?), la brasserie MOUREAU ouvre un magasin de détail dans ses locaux de la rue Emile Hallet à Waremme.
Jean Moureau, brasseur (Waremme)
En avril 2014, MOUREAU Jean exploite la « Brasserie MOUREAU », installée rue Emile Hallet à Waremme. Il a pris la suite de son père MOUREAU Georges.
Georges Moureau, brasseur (Waremme)
En (?), MOUREAU Georges reprend la brasserie de sa belle-famille, installée rue Emile Hallet à Waremme.
La Brasserie Moureau (Waremme)
En décembre 2013, la brasserie « MOUREAU » est installée au n° 6 de la rue Emile Hallet à Waremme. Elle est exploitée par la S.C « Distribel ».
Brasseries à Jeneffe
En 1813, il y a deux brasseries à Jeneffe.
La ferme en carré de Momelette
En 1981, la ferme en carré de Momelette est isolée au Sud du hameau. Cette imposante ferme du 18ème siècle, dont les bâtiments assez symétriques de brique et calcaire, couverts de bâtières de tuiles se rassemblent autour d’une cour carrée, entièrement pavée.
Le volume principal de ce quadrilatère est une longue aile à front de rue, au départ d’un soubassement en calcaire, qui se retrouve pour tous les bâtiments, percée en son centre d’un portail à arc cintré et claveaux passants un sur deux, doublé d’un rouleau de brique. Des écuries encadrent le portail, éclairées par de petites fenêtres récentes; côté cour, elles sont ouvertes par de hautes portes cintrées à clés entre deux oeils-de-boeuf, surmontées d’une baie gerbière.
Deux petits bâtiments de faible hauteur et en retrait, abritant une remise et une laiterie, marquent la transition entre les écuries et les murs de pignon de la grange et du logis.
Ce dernier, d’un niveau et demi, est divisé en cinq travées, qui forment un double corps. Un perron à double volée permet d’accéder à la porte à linteau droit et baie d’imposte, surmontée d’une grosse lucarne harpée et à épis. Des baies à traverses, défendues par des barreaux, éclairent le rez-de-chaussée. La façade arrière, donnant sur un vaste potager, est semblable, le pignon médian y étant percé de deux petites baies rectangulaires.
Des étables basses sous fenils, aux percements à linteau droit, prolongent le corps de logis vers la droite.
La grange en large occupe le côté Sud-Est du quadrilatère; elle a été réduite de moitié. On y accède par un portail surbaissé à claveaux passants un sur deux, doublé d’un rouleau de brique.
A sa gauche, une petite porcherie s’ouvre par des portes jumelles cintrées, à clé et à encadrement écorné.
Le même type de porte, mais plus haute, se présente à droite du portail, permettant de pénétrer dans un pièce (brasserie ?), couverte de six voûtes d’arêtes en brique qui reposent sur deux colonnes polygonales en calcaire.
Enfin, face au portail d’entrée, l’aile Nord-Est abrite des étables couvertes de plafonds plats et de fenils percés de baies rectangulaires (plus récentes).
Le four à pain n’existe plus. Il se trouvait dans une annexe en dehors du quadrilatère.
Vente de la ferme en carré de Ligney
En 1817, les descendants de la famille « TOMBEUR – DACOS – PERILLEUX » vendent, par licitation, la ferme en carré de Ligney (à l’endroit qui s’appellera bien plus tard la rue de l’Ecole), à TOMBEUR Cosme, docteur chirurgien.
Elle comprend un beau corps de logis composé de 13 pièces, tant au rez-de-chaussée qu’au premier étage. Il est surmonté de vastes greniers et est construit sur plusieurs caves, dont une recèle un four. Le ferme comprend également deux vastes granges, trois écuries, deux étables à vaches, une bergerie, des étables, des remises, des fenils, un portail surmonté d’un colombier, une brasserie avec sa chaudière en cuivre et ses cuves, ainsi que d’autres bâtiments ruraux.
Ces bâtiments sont construits à neuf et à la moderne, en pierre de taille, briques et bois, couverts de chaume (à l’exception du portail couvert en ardoises).
Ils entourent une grande cour dans laquelle se trouve un puits.
Un jardin potager et une prairie attenante aux bâtiments et contenant avec l’assise de ceux-ci et la cour une superficie de 165 ares et 60 centiares.
La brasserie Ô (Pousset)
En 2016, la brasserie « Ô » est installée rue de la Mer, à Pousset. Elle est exploitée par MOTTOULLE Michaël et son épouse Stéphanie.
Les Récollets, Ordre Mendiant (Waremme)
Aux 17ème et 18ème siècles, les Pères Récollets de Waremme, qui appartiennent à la classe des Ordres Mendiants, ne peuvent posséder au plus que:
- un local pour les abriter;
- une bibliothèque pour les instruire;
- un four;
- une brasserie;
- un moulin;
- un jardin pour les nourrir et leur fournir une certaine somme de travail manuel;
- une église pour leurs offices;
- un cimetière pour y reposer.
En dehors de cela, rien ! Aucune terre, aucune rente, avec l’obligation de mendier leur pain quotidien, en se fiant à la Providence.
A Waremme, quand chaque semaine ou chaque mois, ils parcourent les rues, les pieds nus, avec besace au dos, demandant humblement leur pain, jamais cette besace ne revient vide.