En 1982, le budget communal ordinaire de Waremme se présente comme suit:
- recettes: 201.361.155 francs
- Dépenses: 201.076.731 francs
Soit un boni de: 284.424 francs
Le budget extraordinaire est équilibré à 43.187.654 francs.
En 1982, le budget communal ordinaire de Waremme se présente comme suit:
Soit un boni de: 284.424 francs
Le budget extraordinaire est équilibré à 43.187.654 francs.
En décembre 1982, les prévisions budgétaires de la fabrique d’église de Longchamps – Petit-Axhe pour 1983 s’établissent comme suit:
Soit un boni de: 4.956 francs
En mai 1984, 164 mayeurs, venus des quatre coins de la région francophone, assistent à la conférence des bourgmestres de Wallonie, qui se tient à Waremme.
Les thèmes abordés sont:
En 1984, l’intervention communale dans le budget du CPAS de Waremme passe de 10 millions à 12 millions de francs belges.
Le 26 décembre 2013, le bourgmestre de Waremme, CHABOT Jacques, et l’échevine des finances, KIPROSKI Stéphanie, rendent public le budget 2014 de la ville. Ce budget sera en léger boni de 18.000 euros. Pour parvenir à ce résultat, le Collège a décidé de prélever 900.000 euros dans les provisions. Il a opté pour cette mesure, plutôt que pour une augmentation des taxes ou un licenciement de personnel.
Après ce prélèvement, les réserves s’élèvent encore à environ 2.000.000 d’euros.
Le budget:
Service ordinaire
Service extraordinaire
Boni global: 339.921 euros
En 1843, le budget communal de Waremme se présente comme suit:
Recettes:
Soit un total de Recettes de 7.412,00 francs
Dépenses:
Soit un total de Dépenses de 4.410,49 francs
Le 23 février 1987, un Conseil Communal des Enfants est créé à Waremme, à l’instigation du nouveau bourgmestre Guy COEME. C’est une première en Belgique.
Le but de cette initiative est d’associer les jeunes à la vie de la cité et à la réflexion sur des sujets les concernant, de travailler leur éducation civique et de leur faire prendre conscience de la démocratie participative dans laquelle ils évoluent.
Ce premier conseil est composé de:
Un crédit de 50.000 francs est mis à leur disposition pour concrétiser certains de leurs projets.
L’opération est supervisée par le professeur DE LANDSHEERE de l’université de Liège et son laboratoire de pédagogie expérimentale.
Le 28 septembre 1898, la Coopérative « La Justice » est fondée à Waremme par WAUTERS Joseph, surnommé « Jeck », étudiant à l’université de Liège,alors âgé de 23 ans et quelques amis socialistes waremmiens (1 cultivateur, 1 domestique, 1 journalier, 1 maçon, 1 ébéniste, 3 ouvriers d’usine, 1 charpentier, 1 menuisier). Une autre cheville ouvrière de la coopérative est le comptable, DENIS Désiré. Au départ, les membres se réuniront tous les dimanches matin au café « Au Coeur d’Or » (local des Libéraux !).
Par la suite, la Coopérative s’installe rue de la Station, mais elle dispose d’une boutique rue du Pont (au n° 35 de la future rue Hubert Stiernet), louée pour 450 francs par an. En plus des produits alimentaires, on y vend des ustensiles ménagers variés. Avec l’argent des premières cotisations, la coopérative achète une charrette et un cheval. Elle va mettre en place une mutuelle d’achats.
Son but principal est d’offrir aux travailleurs des produits de qualité, à un prix accessible et d’intervenir partout, dans les luttes en faveur des pauvres (l’alimentation pèse très lourd dans les budgets). Dans sa « philosophie », tous les profits engrangés doivent retourner aux consommateurs nécessiteux.
Outre l’alimentation, la Coopérative entend offrir d’autres services:
La coopérative assure une certaine indépendance aux ouvriers.
Les statuts de la coopérative « La Justice » sont rédigés par HENAULT Valère et MOUZON Eugène.
Quelque temps plus tard, une boulangerie s’installe en face, rue du Pont (au n° 32 de l’actuelle rue Hubert Stiernet).
Des charrettes sillonneront régulièrement toute la région, transportant du pain et d’autres marchandises.
Les membres fondateurs de la Coopérative
En 1853, le budget de l’Ecole Moyenne de l’Etat de Waremme (qui deviendra l’Athénée Royal) est le suivant :
Dépenses :
Recettes :
Lorsque les comptes de fin d’année sont clôturés, le boni éventuel est distribué au personnel enseignant.
Un « budget » de la ville de Waremme en 1770.
Cette année-là, Waremme perçoit un impôt sur les bêtes, des rentes pour la mise à disposition de certains biens (telle l’étable à la porte du pont), une taxe de deux escalins par chaque ménage dont les revenus dépassent 69,5 florins.
A la même époque, elle paie des frais pour le rendage des comptes, leur publication par le pasteur, pour l’élection magistrale (frais payés au lieutenant-bailly) ; les mandemants touchant les vagabonds, les meneurs d’ours et les étrangers ; les mandemants touchant au brandevin. Elle paie également l’habit de l’huissier LEGROS, ainsi que des honoraires versés au procureur LEBRUN et à l’avocat BASTIN.