Embuscade au « Cheval Blanc » et exécutions (Freloux – Streel – Allemagne)

Le 5 septembre 1944, le Résistant du groupe « Zoro, LINCHET Henri, dit « Alexandre », poste une dizaine de ses hommes en embuscade, au lieu-dit « Le Cheval Blanc », à Freloux, notamment:

  • BOEKER Antoine, dit « Constant »
  • MASSART Albert, dit « Max »
  • PEILLIEN Jean-Baptiste, dit « Ramuntcho »
  • LITTLE Henry, dit « Jim »
  • RORIVE Jean, dit « Grincheux »
  • DETHIER Edmond
  • FRANKINET Laurent
  • YOUNGBLOOD Jérôme

Ils attaquent un convoi allemand de trois véhicules, venant de Noville. Après un bref combat, les Résistants font huit prisonniers, qui sont emmenés à la ferme de Streel.

Une seconde colonne de véhicules allemands arrive sur les lieux. Ces militaires constatent les traces de l’agression et trouvent des cadavres de leurs compatriotes dans un champ voisin. Ils envahissent le moulin de Momalle, tout proche, le fouille à la recherche des « terroristes », prennent les habitants en otage et incendient les bâtiments.

Un peu plus tard, un camion allemand est encore mitraillé dans la campagne entre Fooz et Freloux. Le chauffeur, blessé, est emmené dans la cour de la ferme de Streel.

Des instructions sont demandées à DERWA Arthur, dit « Zoro », sur le sort à réserver aux Allemands détenus dans la ferme. Il répond qu’il ne faut pas s’embarrasser de prisonniers en ce moment. Ils sont exécutés d’une balle dans la tête et enterrés dans le jardin du fermier.

Cannibalisme dans les Andes (Uruguay)

Le 13 octobre 1972, un avion s’écrase dans la Cordillère des Andes. Les rescapés, dont la plupart appartiennent à l’équipe uruguayenne de rugby, attendent pendant 72 jours l’arrivée des secours. Pour survivre, ils mangent les cadavres de leurs camarades morts.

Les Panzers allemands entrent dans Waremme

Le 12 mai 1940, dimanche de Pentecôte, vers 5 heures du matin, les chars du 35ème Panzer-Regiment de la Wehrmacht, quittent Grandville où ils ont passés la nuit. Ils se dirigent vers Waremme et y pénètrent  pendant que le doyen AANDEKERK dit la première messe. Ils ont été précédés par trois engins de reconnaissance. Ils ne rencontrent pas de grande résistance.

Une fusillade éclate dans le quartier de la Porte de Liège. Plusieurs soldats belges sont abattus. Les Allemands laissent les cadavres alignés sur le trottoir, pour dissuader ceux qui auraient encore des velléités de résistance. Deux motards belges, en side-car ouvrent le feu sur les Allemands, à la mitraillette. Ceux-ci ripostent à la mitrailleuse lourde. Les deux intrépides sont blessés et faits prisonniers.

Corswarem est pillée par les Français

Le 30 juillet 1693, après la bataille de Neerwinden, l’armée française prend la direction de Waremme, à cause du danger d’infections né de la décomposition des corps et du manque de vivres.

Les soldats demeurent à Corswarem jusqu’au 13 août, pillant fourrages et grains à plus de deux lieues à la ronde. Les maisons et même les églises sont pillées. La plupart des habitants fuient en emportant leurs biens les plus précieux.

Le camp des Français est installé au point culminant situé entre Corswarem et Berloz.

La bataille de Neerwinden, victimes

Le 29 juillet 1693, la bataille de Neerwinden fait de nombreuses victimes : huit mille chez les Français et douze mille chez les Alliés. Les rues du village de Neerwinden sont « comblées plutôt que jonchées » d’une quantité prodigieuse de corps, dira le duc de Saint-Simon qui assiste à la bataille.

louis de rouvroy, duc de saint-simon

louis de rouvroy, duc de saint-simon