L’Artisan du Café (Verlaine)

En novembre 2013 et octobre 2016, le commerce d’alimentation fine « L’Artisan du Café » est installé au n° 132 de la Grand-Route, à Verlaine. 

Il vend:

  • la gamme de machines à expresso « Saeco by Philips »
  • des cafés et des thés de grandes origines
  • des théières et accessoires
  • des colis cadeau
  • des eaux de vie et liqueurs de la distillerie de « Biercé »
  • des pralines et chocolats artisanaux
  • des pineaux et cognacs du domaine de Tonneaux
  • du foie gras et dérivés
  • des produits de Toscane

Une petite Juive au café Piron (Momalle)

En 1943 (?), une petite Juive prénommée Sarah est hébergée au café de PIRON Fernand, à Momalle.

Le café « L’Hirondelle » (Waremme)

café l'hirondelle

café l’hirondelle

Vers 1912, le café « L’Hirondelle » est installé dans un ancien immeuble situé à l’angle de la rue du Pont et de la rue des remparts, à Waremme. Il est tenu par DELAIRESSE.

La café Bourguignon (Fexhe-le-Haut-Clocher)

En mai 1940, le café « Bourguignon » est installé près de la gare de Fexhe-le-Haut-Clocher.

Albert Smets, torréfacteur (Verlaine)

En avril 2015, SMETS Albert exploite l’entreprise de torréfaction « L’Artisan du Café » au n° 132 de la Grand Route, à Verlaine.

La « Flèche Wallonne » à Waremme

Le 22 avril 2015, le départ de la course cycliste « La Flèche Wallonne » est donné devant le Café « Le Cap », à Waremme. Près de 5.000 personnes ont fait le déplacement pour assister à l’événement.

Arrestation de Camille Colette (Crisnée – Allemagne)

En juillet 1944, le Résistant du groupe « Zoro », COLETTE Camille, dit « le petit Camille », est arrêté par la gestapo au café « PASQUET », à Crisnée. Il décèdera dans un camp de concentration en Allemagne.

Les denrées coloniales « Lombart » (Waremme)

En janvier 1940, LOMBART (?) est marchand de denrées coloniales, rue Stanislas Fleussu à Waremme. Il vend du café, du riz, de la farine, du sucre, du sel, …

La maison et la boutique de la famille Lombart (Waremme – Allemagne)

Le (?) 1940, lorsqu’ils rentrent dans leur maison de la rue Stanislas Fleussu à Waremme, après avoir fui devant l’arrivée des Allemands, les « LOMBART » constatent que leur habitation et leur boutique ont été cambriolées: sucre, café, farine, riz, sel, vêtements, chaussures, vaisselle, …,  tout a disparu.