Maximilien-Valentin Lhoest, canonnier (Waremme)

Le 19 novembre 1813, LHOEST Maximilien-Valentin, de Waremme, est incorporé comme canonnier au 8ème Régiment d’Artilleurs à Pied.

Jean-Jacques Moreau, déserteur (Waremme)

Le 24 mais 1814, MOREAU Jean-Jacques, de Waremme, canonnier au 8ème Régiment d’Artilleurs à Pied, déserte.

Arnold Polard, prisonnier (Waremme – Russie)

En décembre 1812, POLARD Arnold-Toussaint, de Waremme, canonnier au 8ème Régiment d’Artilleurs à Pied (?), est fait prisonnier en Russie.

Arnold Polard, canonnier (Waremme)

Le 22 août 1811, POLARD Arnold-Toussaint, tonnelier à Waremme, conscrit sous le n° de tirage au sort 58, est incorporé comme canonnier à la 13ème compagnie du 8ème Régiment d’Artilleurs à Pied. Son n° de matricule est le 4515. Il sera fait prisonnier en Russie.

Jean-Jacques Moreau, artilleur (Waremme)

Le 16 février 1813, MOREAU Jean-Jacques, de Waremme, est transféré comme canonnier au 8ème Régiment d’Artilleurs à Pied (?).

Jean-Lambert Salm, artilleur (Waremme)

Le 2 mars (16 février ?) 1813, SALM Jean-Lambert, de Waremme, est transféré comme canonnier au 8ème Régiment d’Artilleurs à Pied (?).

Mort de Mathieu Joiret (Omal – Italie)

Le 22 septembre 1807 (1808 ?), JOIRET Mathieu, habitant d’Omal, du 2ème Régiment d’Artilleurs à Pied, décède à l’hôpital de Vérone en Italie.

Un avion abattu (Grandville)

Le 11 mai 1940, un bombardier français « Léo 45 », décolle de l’aérodrome de Clastres, près de Saint-Quentin, avec quatre membres d’équipage, pour aller bombarder les ponts du Canal Albert (Vroenhoven et Veldwezelt). Vers 18 heures, il touché par l’artillerie antiaérienne allemande, aux environs de Tongres. Il tente de faire demi-tour, mais il perd de l’altitude au-dessus d’Oreye. Deux membres de l’équipage parviennent à sauter en parachute:

(L’adjudant MOQUELET se tuera en tombant près de Grandville. L’opérateur radio, l’adjudant NATTA Maurice, s’en sortira quasi-indemne. Il sera fait prisonnier par les Allemands.)

L’avion vole tellement bas que son train d’atterrissage accroche les caténaires de la ligne de tramway. Il  s’écrase au carrefour « Ramkin », à Grandville, derrière le garage de FILIPPINI Jean.

(Le canonnier, le sous-lieutenant JAQUET périra sur le coup. Le pilote, le sous-lieutenant MOREL René s’en sortira gravement brûlé sur tout le corps. Sorti de l’épave, il sera transporté dans une maison du voisinage, chez GILLES Auguste, et soigné par la fille de la maison, GILLES Nelly, et le Docteur FANIELLE, de Liège, réfugié à Oreye. Il décèdera 2 jours plus tard.)

 

 

ramkin aviateurs français

ramkin aviateurs français

Mort de Léon-Désiré Lismonde (Rosoux-Crenwick – Loncin)

Le 15 août 1914, le canonnier LISMONDE Léon-Désiré, natif de Rosoux-Crenwick, est tué dans l’explosion du Fort de Loncin.

Naissance de Léon-Désiré Lismonde (Rosoux-Crenwick – Liège)

Le 15 février 1886, LISMONDE Léon-Désiré voit le jour à Rosoux-Crenwick. Il servira comme canonnier dans l’artillerie de la position fortifiée de Liège durant la Première Guerre Mondiale (matricule: 1/33237).