Funérailles de Léon Berger (Waremme)

léon berger

léon berger

Le 31 août 1944, à 16 heures, la foule se rassemble devant la maison de GIHOUSSE Marie, rue Hubert Stiernet à Waremme, pour la levée du corps de son fils BERGER Léon. Un discours est prononcé par LEGRAND Arthur, le directeur de l’Ecole Moyenne.

PEETERMANS Willy, SAUWENS André et les deux frères MOUREAU transportent le cercueil jusqu’au cimetière. Ils sont précédés par les élèves de l’Ecole Moyenne, qui voulaient accompagner leur instituteur jusqu’à sa dernière demeure. Suivent Simone (?), la fiancée de BERGER Léon, son frère, BERGER « Pierrot » et de nombreux membres du Réseau Otarie.

Au cimetière, MOUREAU Auguste, le directeur de l’Ecole Communale de Longchamps, évoque la carrière de du défunt. L’émotion est très vive.

Daniel François et Alain Michelet, coupables (Waremme – Liège)

Le 26 mars 2015, la Cour d’Appel de Liège (1) confirme la peine que le Tribunal Correctionnel a prononcée à l’encontre de l’ancien chef de la zone de police de Waremme, FRANCOIS Daniel, et de son adjoint, MICHELET Alain, pour harcèlement et traitement inhumain et dégradant, mais (2) en sus, déclare que ces attitudes coupables sont à l’origine de la mort de KOCH Sandra et de sa fille, et des graves blessures de son fils.

RAPPEL DES FAITS

Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.

Comme en première instance, FRANCOIS Daniel est condamné à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.

Mais de plus, la Cour déclare que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges précisent que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats considèrent que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.

Si la peine de prison avec sursis est maintenue, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes amène la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.

Une telle condamnation devrait avoir d’importantes conséquences sur la carrière de FRANCOIS Daniel et MICHELET Alain à la police.

Les avocats des deux condamnés annoncent leur intention de se pourvoir en Cassation de l’arrêt de la Cour d’Appel. Pour rappel, la Cour de Cassation ne se prononcera pas sur le fond de l’affaire, en l’occurrence la culpabilité des deux hommes, mais sur la forme de l’arrêt de la Cour d’Appel et le respect des règles de procédure et de droit.

Naissance de Jean Pétry (Remicourt)

Le 4 février 1911, PETRY Jean voit le jour à Lamines. A 16 ans, il entrera chez « Mélotte » à Remicourt, avant de faire toute sa carrière chez « Cuivre et Zinc ».

Irma Jadot-Davignon, retraitée (Faimes)

En juillet 1982, le directrice de l’école communale de Faimes, JADOT-DAVIGNON Irma est admise à la retraite après 40 ans de carrière. Elle est remplacée à ce poste par Madame LEISTEN.

Marcel Dessy, retraité (Waremme)

En décembre 1987, le receveur des Contributions de Waremme, DESSY Marcel, est admis à la retraite, après 46 ans de carrière, au cours de laquelle il a gravi tous les échelons, du poste de commis à celui de receveur.

Deux retraités mis à l’honneur (Waremme)

Le 20 décembre 1983, Messieurs MAILLARD et WARNIER, respectivement instituteur en chef et instituteur de la section préparatoire de l’Athénée Royal de Waremme, récemment retraités, sont mis à l’honneur par leurs anciens collègues et par la direction de l’école.

Ils reçoivent des mains de CHERTON Justin, préfet de l’Athénée, un album souvenir de photos des grandes étapes de leur carrière.

Guy Coeme signe deux conventions avec l’INUSOP (Waremme – Belgique)

guy coëme en 1988

guy coëme en 1988

En 1988, le Ministre de la Défense Nationale, COEME Guy, signe deux conventions de sondage d’opinion avec l’INUSOP, chacune d’un montant de 5,4 millions de francs belges. Le premier sondant l’opinion des miliciens sur leur service militaire ; le second sondant l’opinion des militaires de carrière sur leur situation.

Edwige Feuillère récompensée (France)

edwige feuillière

edwige feuillière

En 1984, la comédienne française, FEUILLIERE Edwige reçoit un « César d’Honneur », pour l’ensemble de sa carrière.

Hubert Krains entre au Télégraphe (Waremme – Morlanwelz)

KRAINS Hubert

Le 27 août 1879, KRAINS Hubert débute sa carrière au bureau du télégraphe de Morlanwelz, en qualité d’auxiliaire à l’essai, au traitement mensuel de quarante francs.

Stanislas Fleussu démissionne (Waremme – Belgique)

stanislas françois fleussu

stanislas françois fleussu

En 1847, FLEUSSU Jean-Stanislas-François, natif de Waremme, donne sa démission de député à la Chambre des Représentants et renonce à sa carrière législative, à la suite d’un deuil de famille.