Le 3 (?) juin 2024, le chef de la caserne des pompiers de Waremme (depuis 3 ans), LAURENT Stéphane, âgé de 47 ans, est nommé adjudant.
Il a été infirmier aux urgences du Centre Hospitalier du Bois de l’Abbaye, sur les sites de Seraing et de Waremme, pendant 20 ans. Parallèlement, il était pompier volontaire. Quand une place s’est libérée à Waremme, il y a 3 ans, il est devenu pompier professionnel.
En mai 2025, ROBERT Jean-Claude, âgé de 65 ans, est plus ancien sapeur-pompier de la caserne de Waremme. Ses fils, ROBERT Michaël et ROBERT Amaury, sont également pompiers.
En 1982, ROBERT Jean-Claude entre à la caserne des pompiers de Waremme, comme pompier volontaire. Avant cela, il travaillait à l’abattoir communal. Il est âgé de 22 ans.
Vers 1975 (?), l’ancien pompier de Waremme, PETITJEAN Louis, restaure une ancienne pompe à bras. Il est la « mémoire » de la caserne.
En mars 2020, BERGER Yves est mis à l’honneur par la Zone de Secours de Hesbaye, pour ses 30 ans de service à la caserne de pompiers de Waremme.
En mars 2014, la halte d’accueil pour enfants de 0 à 6 ans « La Maison Enchantée » est installée au n° 1 A de la rue du Rèwe à Waremme (en face de l’ancienne caserne des pompiers).
En décembre 2020, une étude de faisabilité de revitalisation du site du Rèwe (dont l’ancienne caserne des pompiers) sera bientôt réalisée à Waremme.
En mai 1940, le soldat LAMBERT Auguste, de Ligney, est caserné à Cheratte. Il est fiancé à STREEL Jeanne.
Le 20 mars 1940, le soldat JAMOUL Gaston, de Geer, décède à l’hôpital militaire de Liège, des suites d’un accident, alors qu’il était en service.
En mars 11940, la Belgique vit ses dernières semaines de paix. JAMOUL Gaston, âgé de 28 ans, père d’une petite fille, fait partie des 650.000 soldats belges mobilisés. A la Chartreuse, les militaires casernés effectuent fréquemment des manoeuvre d’entraînement. Au cours de l’une d’elles, plusieurs hommes, dont JAMOUL Gaston, tombent d’un camion, dans un virage. Transporté à l’hôpital militaire de Liège, il y mourra dès arrivée.
Le 13 mai 1940, Madame MARECHAL Lucie, l’épouse du commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme, expulsée de la caserne par les Allemands, s’installe avec sa fille Arlette, dans un des immeubles de la pâtissière DELVAUX Renée. Cet immeuble, situé au n° 10 de l’avenue Reine Astrid, est momentanément inoccupé.
Pour le déménagement, Madame MARECHAL est aidée par « VANAKE Djan » et sa charrette à bras.