Le revenu du marguillier (Hodeige)

En 1839, le revenu fixe du marguillier de Hodeige s’élève à 8 muids 1 setier et à 1 franc 35 de rente (outre ces revenus, il jouit d’un casuel ou revenu provenant des droits d’enterrement, de mariage, …)

Le revenu du marguillier (Hodeige)

En 1756, le revenu fixe du marguillier de Hodeige s’élève à 91 setiers et 18 sous (outre ce revenu, il jouit d’un casuel ou revenu provenant des droits d’enterrement, de mariage, …)

Le revenu du marguillier (Hodeige)

En 1726, le revenu fixe du marguillier de Hodeige s’élève à 6 muids (outre ce revenu, il jouit d’un casuel ou revenu provenant des droits d’enterrement, de mariage, …)

Le revenu du marguillier (Hodeige)

En 1712, le revenu fixe du marguillier de Hodeige s’élève à 6 muids (outre ce revenu, il jouit d’un casuel ou revenu provenant des droits d’enterrement, de mariage, …)

Le revenu du marguillier (Hodeige)

En 1669, le revenu fixe du marguillier de Hodeige s’élève à 6 muids (outre ce revenu, il jouit d’un casuel ou revenu provenant des droits d’enterrement, de mariage, …)

Le revenu du marguillier (Hodeige)

En 1663, le revenu fixe du marguillier de Hodeige s’élève à 8 muids (outre ce revenu, il jouit d’un casuel ou revenu provenant des droits d’enterrement, de mariage, …)

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1528, les revenus annuels de la cure de Hodeige, sans compter le « casuel », s’élèvent à 120 muids d’épeautre, plus environ 200 deniers fortis de rente.

Les habitants dotent leur église (Hodeige)

En 1259, les fidèles de Hodeige dotent leur église de 9 bonniers de terre, qui doivent servir à l’usage du curé, ainsi que d’une rente annuelle de 4 muids d’épeautre. (Le bonnier étant calculé comme rapportant annuellement 3 muids, avec 9 bonniers, le curé aura donc un revenu annuel de 27 muids, plus 4 muids de rente annuelle, soit un total de 31 muids).

En outre, il percevra les oblations des fidèles et le « casuel » qui consiste dans la perception des droits d’étole à l’occasion de services religieux pour les défunts et les offrandes que l’on fait à l’occasion de la réception de certains sacrements ou d’autres cérémonies de l’Eglise.