En 1954, la taverne « Au Coeur d’Or » est installée à Waremme. Le patron est en cuisine. Sa cave est réputée.
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Modernisation du moulin (Momalle)
En 1850, le moulin à farine de Momalle, situé le long de la Chaussée Romaine, est profondément transformé et modernisé, sur le modèle du moulin à clavier (moulin-cavier – sur cave ?). Il est soutenu par des fondations formant un tunnel dans une butte, servant de magasin pour le grain.
Il appartient à la famille LEKEUX-STREEL.
La cave de Lucie Naveau pillée (Waremme – Allemagne)
Le 12 mai 1940, les Allemands s’introduisent dans la maison de NAVEAU Lucie, rue de la Porte de Liège (qui deviendra plus tard l’avenue Edmond Leburton) et pillent la cave, qui contient des centaines de bouteilles de vin, dont beaucoup de grands crus millésimés.
NAVEAU Lucie a fuit la ville, hier.
Marthe Gaspard, rescapée (Grand-Axhe)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière de la maison de GASPARD Léon et BALTAZAR Eugénie, à Grand-Axhe, celle-ci est sortie des décombres par les sauveteurs.
Les recherches se poursuivent pour retrouver la fille de la famille, GASPARD Marthe, qui se trouvait également dans la maison. Finalement, les secouristes entendent sa voix. Elle est bloquée dans la cave. Après de longs efforts, ils parviennent à la dégager. A part quelques ecchymoses, elle semble indemne.
Mort de Charlotte François (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier, FRANCOIS Charlotte, l’épouse de RENIER Camille, est retrouvée morte dans sa cave. C’est de cette cave qu’est extraite, en vie, MASSET Clara.
Clara Masset, extraite des décombres (Waremme)
Le 28 août 1944, lors de l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier à Waremme, WUIPIEDS Emile, dit « Le Poilu », n’est pas chez lui. Il est à Bettincourt. Par contre, sa femme, MASSET Clara, a trouvé refuge dans la cave voisine des RENIER.
Après l’explosion, ses frères MASSET Marcel et MASSET Jules, ROUA Joseph, VANOPPEN Lucien et DEBROUX Georges s’activent pour la sortir des décombres.
Elle est conduite sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Les brancardiers doivent se relayer plusieurs fois, en raison de son obésité.
Jeanne Stouvenakers, sauvée (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, le pharmacien SAINT-GEORGES Joseph et son frère SAINT-GEORGES Lucien s’introduisent sous les décombres par l’ouverture qui a permis à HINNISDAELS Yvonne de sortir. Ils ont entendu une voix. Ils arrivent près de STOUVENAKERS Jeanne. Ses jambes sont bloquées par une grosse poutre en béton. Il l’a brise avec une masse. En raison de la corpulence de STOUVENAKERS Jeanne, il n’est pas possible de la faire sortir par l’ouverture par laquelle ses sauveteurs sont entrés. Il faudra la sortir par la cave voisine. Elle a une jambe cassée.
Les soeurs Mathot, saines et sauves (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, la Boulangerie « MATHOT » est ravagée. Mais MATHOT Honorine et MATHOT Marie-Louise sortent indemnes du dessous de la table où elles se sont réfugiées. LALLEMAND Paul et HOMBROISE Philippe, qui s’étaient réfugiés dans la cave de la boulangerie, s’en sortent également sains et saufs.
Yvonne Hinnisdaels, saine et sauve (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier à Waremme, HINNISDAELS Yvonne parvient à s’extraire seule des décombres. Elle s’était réfugiée dans la cave du magasin de salaisons « STOUVENAKERS ».
Fernand Magnée et ses patientes, sauvés (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison voisine de l’électricien « PUTZEYS », rue Gustave Renier à Waremme, les sauveteurs libèrent le dentiste MAGNEE Fernand, FRERE Marie, MANGON Marie et un soeur Dominicaine, qui s’étaient réfugiés dans la cave de la maison de l’architecte GONTHIER. Les volontaires parviennent à les faire sortir par le soupirail de la façade. L’escalier menant à cette cave est obstrué par une tonne d’éboulis.