En 1966, la nouvelle centrale électrique de la Raffinerie « Notre-Dame » d’Oreye est interconnectée au réseau public pour la vente d’importantes quantité d’énergie électrique.
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Fin de la coopération avec Electricité et Mécanique (Waremme)
Le 31 décembre 1932, la convention d’exploitation de la centrale électrique de Waremme, avec la Société « Electricité et Mécanique de Bruxelles », arrive à échéance. La commune envisage la reprise de la centrale par l’Intercommunale « Société d’Electricité du Pays de Liège ».
La centrale électrique (Waremme)
En 1932, le bénéfice net, retiré par la commune de Waremme de l’exploitation de la centrale électrique (avec la société « Electricité et Mécanique de Bruxelles »), s’élève à 62.000 francs.
La centrale électrique de Waremme
Vers 1930, la Centrale électrique de Waremme est exploitée pour moitié par la commune et pour moitié par la Société « Electricité et Mécanique de Bruxelles ». Pour cela, cette société verse une location annuelle de 21.000 francs à la commune. Le bénéfice net annuel de Waremme de cette centrale varie de 40.000 à 60.000 francs.
Investissement à la raffinerie (Oreye)
En 1945, la Raffinerie Notre-Dame d’Oreye se lance dans la modernisation de ses installations. L’ancienne centrale électrique de est remplacée par un turboalternateur de 2500 KW.
L’ARFEG au travail (Waremme)
Le 29 août 1944, les jeunes volontaires de « l’Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre » (ARFEG) transportent les meubles, objets de valeur, vêtements, vaisselle, … retirés des décombres des maisons touchées par le bombardement, à l’aide de charrettes à bras, dans l’ancienne centrale électrique de la rue Sous-le-Château.
Tous ces volontaires portent un brassard d’identification.
La centrale électrique, désaffectée (Waremme)
En 1939, la centrale électrique qui alimentait Waremme est désaffectée, suite à l’affiliation de la ville à l’Association Liégeoise d’Electricité (ALE). Elle était située rue Sous-le-Château, à côté du Rèwe.
Il faut mettre les biens des sinistrés à l’abri (Waremme)
Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, les jeunes de la section locale de l’Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre (ARFEG) travaillent sous la surveillance de WEBER Jean-Baptiste.
Il décide d’entreposer les meubles et les objets de valeur, des immeubles touchés par les explosions, dans les locaux de l’ancienne centrale électrique. En raison de la tombée de la nuit, ce travail sera surtout effectué le lendemain.
En attendant, des gardes-champêtres et des gendarmes surveillent la zone sinistrée.
Le Grand Jardin de Waremme
En 1944, l’espace qui s’étend du presbytère et de l’ancienne centrale électrique de Waremme, jusqu’au Geer, est appelé « Le Grand Jardin ». Il sert de terrain de jeu à différents mouvements de jeunesse de la ville.
(Ce terrain à appartenu, dès 1639, à la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme)
La centrale électrique, hors service (Waremme)
En 1936, la centrale électrique de Waremme est mise hors service. Son directeur était WEBER Jean-Baptiste, dit « Fieu ».