En 1802, la centralisation du pouvoir se fait sentir dans les administrations locales. Au niveau départemental, les préfets ; au niveau des arrondissements, les sous-préfets ; au niveau communal, les maires : tous sont nommés par le premier consul. Les administrateurs locaux ne sont plus élus par les citoyens. L’essentiel du pouvoir se concentre entre les mains d’un seul représentant, entouré d’un conseil aux attributions généralement symboliques.
La centralisation du pouvoir (France – Belgique)
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