En 1873, DE LOOZ Georges creuse une galerie dans le flanc Sud du Tumulus d’Avennes, sur le territoire de Braives, à la périphérie du vicus-gallo-romain, au Sud de la Chaussée Romaine. Il y découvre un caveau de 2m10 sur 2m. Un grand cercueil en bois contient une urne avec les cendres d’un défunt. Il y découvre également un cinquantaine d’objets en bronze, céramique, …
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Les Pompes Funèbres Emile Jacob (Waremme)
En 1954, les Pompes Funèbres JACOB Emile sont installées à Waremme.
Elles proposent:
- des chambres mortuaires
- un corbillard
- des cercueils
- des ensevelissements
- les formalités avec les hôpitaux, cliniques et sanatorial
Funérailles de Léon Berger (Waremme)
Le 31 août 1944, à 16 heures, la foule se rassemble devant la maison de GIHOUSSE Marie, rue Hubert Stiernet à Waremme, pour la levée du corps de son fils BERGER Léon. Un discours est prononcé par LEGRAND Arthur, le directeur de l’Ecole Moyenne.
PEETERMANS Willy, SAUWENS André et les deux frères MOUREAU transportent le cercueil jusqu’au cimetière. Ils sont précédés par les élèves de l’Ecole Moyenne, qui voulaient accompagner leur instituteur jusqu’à sa dernière demeure. Suivent Simone (?), la fiancée de BERGER Léon, son frère, BERGER « Pierrot » et de nombreux membres du Réseau Otarie.
Au cimetière, MOUREAU Auguste, le directeur de l’Ecole Communale de Longchamps, évoque la carrière de du défunt. L’émotion est très vive.
Le plombier-zingueur Auguste Uytdenbroek (Waremme)
En août 1949, le plombier-zingueur UYTDENBROEK Auguste est installé rue de la Porte de Liège à Waremme. Son n° de téléphone est le 220. Son n° de registre de commerce est Liège 23023.
Un cercueil en zinc coûte 1.000 francs.
Portrait d’Etienne François, des Pompes Funêbre FRANCOIS (Waremme)
FRANCOIS Étienne est responsable d’une entreprise de pompes funèbres depuis quinze ans. À 34 ans, il dirige trois funérariums près de Waremme, il apporte soutien et réconfort aux familles en deuil.
Mes parents dirigeaient une société familiale qui se partageait entre deux activités, la menuiserie, d’une part, et une entreprise de pompes funèbres. Cette dernière fut montée par mon grand-père, déjà menuisier, à l’époque où il fabriquait des cercueils. Afin de rejoindre l’affaire familiale, j’ai commencé un parcours scolaire qui devait me mener à la reprise de la menuiserie. Humanités en sciences économiques à Waremme, trois années en menuiserie à Liège et un graduat en génie civil et conducteur de travaux. Le chemin était tracé pour qu’à la sortie de l’école je rejoigne l’équipe familiale à la direction de la menuiserie, mes parents s’occupant des pompes funèbres. Mais c’est l’inverse qui s’est produit. Dès que j’ai eu mon diplôme d’humanités en poche, j’ai été actif au sein des deux activités pour me familiariser avec le contexte de travail. Mais, à la surprise de tous, j’ai rapidement préféré le contact avec les familles. J’aime l’idée de leur apporter une part de réconfort, de les aider dans les différentes démarches administratives pour qu’elles puissent se consacrer au souvenir de l’être disparu.
C’est un métier où il faut montrer beaucoup d’empathie, mais en même temps une certaine dose de détachement. « C’est un équilibre très subtil qu’il faut trouver pour apporter notre soutien aux familles, explique Étienne. Approcher la tristesse des familles au quotidien n’est pas toujours facile. Mais l’entrepreneur de pompes funèbres est souvent le premier contact réconfortant que les proches ont avec la réalité. « Les personnes qui font appel à nous savent que nous allons veiller sur leur défunt avec le plus grand respect, dans la continuité des traditions religieuses ou laïques qui sont les leurs. À ce stade du deuil, chaque détail est important et nous veillons à ce que tout se déroule de manière douce et feutrée. La famille ne doit se soucier de rien dans l’organisation des funérailles, notre entreprise s’occupe de tout. De la cérémonie à la réception après funérailles en passant par les démarches officielles ou le transfert du défunt en nos murs ou à la maison mortuaire« .
« Il y a des moments difficiles dans notre métier. La tristesse et l’émotion font partie de mon quotidien, c’est pourquoi je dressé une frontière très stricte entre mes activités professionnelles et ma vie privée. Mon plus grand souhait est de permettre aux familles de vivre leur deuil dans la dignité en organisant toujours un service d’une qualité irréprochable ».
Étienne est un homme curieux et pragmatique. Pour développer l’offre des services qu’il peut offrir aux familles qui lui font confiance, il n’hésite pas à voyager loin. « L’année dernière, je suis allé au Salon funéraire de La Nouvelle-Orléans. J’ai pu me faire une idée des dernières tendances en matière de services funéraires. J’en ai aussi profité pour m’informer sur les nouveaux corbillards en vue d’un achat. Aux États-Unis, les choses se passent différemment, il y a d’autres coutumes, d’autres manières de faire. J’ai visité plusieurs entreprises de confrères américains. J’en ai ramené le sens du détail et la volonté de rendre chaque cérémonie plus solennelle pour que les familles aient le sentiment d’accompagner le dernier voyage de leur proche défunt dans les meilleures conditions.
Bataille aérienne dans le ciel de Waremme
Le 8 décembre 1941, après une bataille aérienne, un avion anglais s’écrase à Marneffe. Trois ou quatre corps sont retirés de l’avion, complètement déchiquetés. On découvre une tête détachée du tronc, un foie, un pied, une main, … Les Allemands arrivent très vite avec des cercueils et emmènent les corps au cimetière de Waremme.