Au XIIIème siècle, le premier Seigneur de Corswarem, DE CORSWAREM Robert, cède à l’abbaye d’Herckenrode, la part des dîmes qu’il lève à Corswarem, à Hundelingen et à Willine.
Robert de Corswarem cède des dîmes
Répondre
Archives par mot-clé : cession
Cession de terres (Corswarem – Liège)
En 1440, DE CORSWAREM Arnould VI, devant la Cour Allodiale de Liège, transporte des biens sis à Corswarem.
Cession de terres (Corswarem)
En 1139, le Ministeriales DE CORSWAREM Arnould possède des biens à Corswarem. Il en cède quelques bonniers à l’abbaye de Flône.
Cession de dîmes
En 1213, DE CORSWAREM Robert est Ministeriales du Comte DE LOOZ qui lui cède une partie de ses dîmes à:
- Corswarem
- Hundelingen
- Willines
Cession de Comté
En 1203, la cession du Comté DE DURAS au Comté DE LOOZ est définitivement scellée.
Cession de terres (Corswarem)
Avant 1080, l’Empereur OTTON cède 20 manses de terres, situées à Corswarem, à l’abbaye Saint-Maurice.
Conditions de cession du domaine (Corswarem)
Le 30 avril 1761, DE CORSWAREM Joseph-Clément confirme la cession, qu’il a faite au Seigneur Duc DE CORSWAREM – DE LOOZ Joseph-Philippe, de tous ses droits, pour rapprocher et purger la terre de Corswarem et le château avec les dépendances et appendances …, et qu’à défaut de successeur mâle dans cette branche, elle soit transmise au plus proche du nom par droit d’aînesse.
Cession du domaine de Corswarem
Le 3 juin 1749, DE CORSWAREM Joseph-Clément cède le domaine de Corswarem à son parent le Duc DE CORSWAREM-DE LOOZ Joseph-Philippe.
Cession de droit (Corswarem)
Le 7 novembre 1750, dans un acte passé à la Salle de Curange, il est précisé que DE CORSWAREM Joseph-Clément a cédé et transporté au Duc DE LOOZ Joseph-Philippe tout son droit et action pour pouvoir purger le château de Corswarem et généralement tous les biens et terres dépendantes et appendantes.
La Seigneurie de Corswarem, fief
Le 2 mars 1588, le Prince-Evêque de Liège cède en fief à DE CORSWAREM Jacques 1er, Seigneur de Niel, la Seigneurie de Corswarem, dont il se réserve la juridiction spirituelle et temporelle, et à condition qu’après la mort du dit DE CORSWAREM Jacques 1er, de sa femme et d’un de ses enfants, il puisse rédimer la dite Seigneurie pour la somme de 1.000 florins.