Le curé contre les bals (Hodeige)

En (?), le curé de Hodeige, l’abbé DELVAUX Jean-Louis, pleure en Chaire de Vérité car un scandale a éclaté lors d’un bal organisé dans la paroisse. Il parviendra à faire interdire les bals et danses, des divertissements dangereux !

Une Chaire de Vérité pour l’église (Hodeige)

Vers 1630, le curé de Hodeige, l’abbé DE DONCHEIL (DE DONCEEL) Thomas, fait construire une Chaire de Vérité pour l’église du village. Elle est de style Louis XIII. Elle porte une molette à 6 pans.

La Chaire de Vérité (Remicourt – Glain)

Le 7 janvier 1922,  l’ancienne Chaire de Vérité de l’église de Remicourt est donnée à l’église de Glain.

Chaire de Vérité pour l’église (Remicourt)

Le 24 juillet 1913, DE TROOZ Fernand, de Louvain, propriétaire de la ferme HALLEUX, de Remicourt, fait installer une nouvelle Chaire de Vérité dans l’église de Remicourt.

Elle est en pierre blanche avec rampe forgée et porte-voix. Elle est de style gothique du XIIIème siècle. Deux scènes y sont sculptées: le Christ prêchant sur la montagne et le Christ proclamant la vérité. Ces œuvres sont de VAN UIT, VRANCK et CORTHOUTS, de Louvain.

La Chaire de Vérité de l’église (Crisnée)

Vers 1913, l’ébéniste DUJARDIN Stanislas réalise la Chaire de Vérité et les confessionnaux de l’église de Crisnée.

La chaire de vérité (Celles)

En 1838, MASSAUX de Fize-Fontaine réalise la chaire de vérité en chêne destinée à l’église Sainte-Madelberte de Celles.

Une chaire de vérité pour l’église (Hodeige)

En 1630, une chaire de vérité, de style Renaissance, est réalisée pour l’église Saint-André de Hodeige.

Louis Donnay, sculpteur-ébéniste (Momalle – Liège)

En 1864, le sculpteur liégeois DONNAY Louis réalise la Chaire de Vérité destinée à l’église de Momalle.

L’ameublement de l’église Saint-Pierre est bradé (Waremme – Liège)

En juin 1968, une partie de l’ameublement de l’église Saint-Pierre de Waremme (les stalles, la chaire de vérité, les deux autels latéraux, les candélabres, le banc de communion, les grands chandeliers, le lutrin, …) est vendue à l’antiquaire liégeois PAQUOT, pour environ 80.000 francs belges.

Le prix ne représenterait que 5% de la valeur réelle des objets !