Les élections législatives (Belgique)

En 1925, à l’issue des élections législatives, le Parti Ouvrier Belge (POB) devient le premier parti à la Chambre des Représentants en Belgique.

Dans la circonscription électorale de Huy-Waremme, les résultats sont les suivants:

  • Catholiques: 23,94% des voix
  • Libéraux: 18,86%
  • Socialistes: 50,92%
  • Neutres: 4,53%
  • Communistes: 1,75%

Travaux au château de Longchamps (Waremme)

Le 7 août 1844, le menuisier de Waremme, SCHOFFENIELS Jean-Jacques, supervise les travaux effectués au château de Longchamps, pour faire communiquer la chambre de D’OMALIUS D’HALLOY Sophie, épouse de DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, avec le second étage.

Les négligences du commissaire Emile Hallet (Waremme)

Le 11 mars 1881, HALLET Emile, commissaire d’arrondissement de Waremme « ad interim », est accusé de grandes négligences. Son père, HALLET Pierre, en confère à la Chambre avec le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond.

Manifestation à Waremme

Le 16 mars 1952, une grande manifestation, placée sous le signe du Patriotisme et du Civisme, se déroule à Waremme.

Un cortège se forme à l’avenue Guillaume Joachim, se dirige vers la place de la Porte de Liège, emprunte l’avenue des Platanes (qui deviendra plus tard l’avenue Henri Monjoie), la rue des Boulevards (qui deviendra plus tard la rue des Remparts), la rue Hubert Stiernet, la rue Joseph Wauters, la rue Zénobe Gramme, la rue Emile Hallet, la place Ernest Rongvaux, l’avenue Reine Astrid et, enfin, la place du Roi Albert 1er.

Le « Tout Waremme » y participe, le conseil communal dans son entier, mais aussi de nombreux hommes politiques, les vices-présidents de la Chambre et du Sénat, des sénateurs, des députés provinciaux, des bourgmestres. Les associations patriotiques sont également représentées.

LEBURTON Edmond prend la parole pour réclamer justice dans l’Affaire Doyen.

Michel-Edmond de Sélys-Longchamps démissionne (Waremme – Belgique)

Le 5 novembre 1848, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond donne sa démission de député. Il trouve la Chambre « réactionnaire » et la taxe de « courtisanerie ».

La raison de sa démission serait l’expulsion de MARX Karl par ROGIER Charles.

Portrait de « Mélanie kète di bwès » en 1950 (Waremme)

WAGELMANS Mélanie, dite « Mélanie kète di bwès », naît en 1857 à Corthys, petit village limbourgeois situé entre Waremme et Hannut. D’origine flamande, elle épouse un wallon. Après avoir perdu son mari, elle quitte son village de Crehen et vient s’installer à la rue des Prés à Waremme, le 21 juin 1919.

Durant toute sa vie, elle va conserver les accents de sa langue maternelle, à laquelle elle ajoutera des mots de français et de wallon, pour en faire un langage patoisant tout à fait personnel.

A la rue des Prés, elle habite un ancien baraquement militaire en bois, adossé au talus d’une prairie, non loin des décanteurs de la Sucrerie. Au fil du temps, ce baraquement devient un véritable taudis, d’où s’exhalent des odeurs fétides. Son logement lui sert à la fois de cuisine, de chambre à coucher et de cabinet d’aisance.

Elle survit grâce à une maigre pension de vieillesse, dont elle arrondit le montant d’aumônes de personnes charitables ou de petites sommes de vagabonds de passage qui partagent son lit.

Son sobriquet de « Mélanie kète di bwès » lui est donné par analogie au sexe des hommes, auxquels elle a emprunté la manière de monter à califourchon les chevaux de labour de la Ferme du Moulin, où elle effectue des travaux de temps à autre.

De nature peu exigeante, elle se satisfait d’un rien pour vivre. Elle se nourrit le plus souvent de soupe, que les soeurs des Filles de la Croix lui préparent, de lard, de pain et de lait, dont elle reçoit quotidiennement un cruchon à la Ferme du Moulin. Elle puise l’eau dont elle a besoin dans une mare alimentée par une source.

Un beau jour, les autorités communales de Waremme décident de la placer à l’hospice de Geer.

Elle y meurt, le 28 décembre 1950, à l’âge de 93 ans.

La Chambre rejette le suffrage universel intégral (Belgique)

Le 7 février 1913, la Chambre refuse, par 99 voix contre 83, de prendre en considération une proposition de révision de la Constitution, en faveur du suffrage universel intégral.