Vers 1100 (?), l’avoué de l’abbaye de Saint-Trond, DE DURAS Gislebert, loge 90 chevaux dans la maison abbatiale d’Oreye. Pendant 5 jours, il dévaste les champs cultivés du village, en y lançant ses animaux.
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Les décanteurs de Hollogne-sur-Geer
Depuis fin 2011, le site des décanteurs de Hollogne-sur-Geer est la propriété de la société « Hesbaye Frost » et est géré par NATAGORA.
Initialement, il a été aménagé pour décanter les eaux de lavage des betteraves sucrières traitées par la râperie de Hollogne-sur-Geer (qui a été active jusqu’en janvier 2009). 16 bassins de différentes dimensions ont été creusés en 2 zones couvrant 41 hectares. Au fil des années, les différentes retenues se sont comblées et ont formé une mosaïque d’étangs de profondeur variable et de friches plus ou moins humides. On peut y trouver une roselière à phragmites et massettes, ainsi que des saulaies. Bien que situé non loin du village, le site est entouré de champs, de prairies et de peupleraies. Il constitue un refuge idéal pour les oiseaux, dont on y a recensé plus de 350 espèces.
Cependant, l’arrêt des activités de la râperie entraîne un déséquilibre des bassins. La circulation des eaux de lavage des betteraves est interrompue, diminuant d’une part les ressources alimentaires provenant des matières organiques et asséchant d’autre part certains bassins, qui tendent à se reboiser rapidement. Le site est réellement mis en péril.
En septembre 2011, une solution apparaît pour la sauvegarde du site ornithologique. le nouveau propriétaire et NATAGORA se lancent dans une vaste opération pour préserver les 33 hectares de cette oasis hesbignonne.Une partie des bassins, à haute valeur écologique,
« Dj’Han l’nahi »
En (?), en Hesbaye, le fermier d’un village, qui termine en premier les travaux de moisson, fabrique un mannequin de paille, appelé « Dj’Han l’nahi » (Jean le fatigué), coiffé d’un chapeau de moissonneur, vêtu d’un sarrau, muni d’un râteau édenté, portant en bandoulière une besace et un bidon. Il va ensuite le planter dans le champs d’un voisin qui n’a pas encore terminé. Le mannequin passe ainsi des terres d’un agriculteur à celles d’un autre, au fur et à mesure de l’avancement des travaux. Le dernier cultivateur qui en hérite, doit payer à boire aux autres et à leurs ouvriers. Enfin, le mannequin est livré aux flammes dans la liesse générale.
René Craninx, garde rural (Waremme – Bettincourt)
En 1943, CRANINX René de Bettincourt est garde rural à Waremme. Il s’assure que les habitants, qui ont été réquisitionnés pour effectuer des patrouilles nocturnes dans les cultures pour décourager les glaneurs clandestins, remplissent bien leur tâche.
Cette activité déplait fortement à la population. A la Libération, il sera poursuivi pour collaboration avec l’ennemi.
Tchamp’ Notte (Grand-Axhe)
En 1668, un pré circulaire, situé au lieu-dit « Tchamp’ Notte » à Grand-Axhe, est transformé en terre labourable.
Le matériel de Radio Hesbaye retrouvé (Faimes)
Le 14 avril 1982, le matériel, volé à la fin du mois de mars à Radio Hesbaye, est retrouvé par un agriculteur de Faimes, en bordure de son champs.
Construction des nouveaux locaux du Collège Saint-Louis (Waremme)
Le 24 février 1964, les travaux de construction des nouveaux locaux du Collège Saint-Louis, sont entamés dans la campagne de Longchamps, sur des terrains achetés à la famille de Selys-Longchamps.
Le directeur du collège, l’abbé VANSTRAELEN, a l’audace de sortir du carcan formé par l’avenue reine Astrid et la rue de Huy, pour construire un nouveau complexe scolaire, en plein champs, le long de l’avenue du Prince Régent.
Les architectes sont Messieurs KESENNE et RENIER, le premier, ancien élève, le second, professeur de dessin au collège.
Un Waremmien victime des Américains (Waremme)
Le 10 août 1944, des avions américains Thunderbolt sillonnent le ciel de Waremme et attaquent tout véhicule qui circule. Il y a de nombreuses victimes. Le fermier LARDINOIS de Waremme est frappé, alors qu’il bat du grain dans un champ.
Les glaneurs passent après les moissons (Waremme)
En août 1942, le long des grand-routes ou en bordure des espaces moissonnés de la région de Waremme, des groupes imposants de glaneurs et de glaneuses attendent que les dernières gerbes soient enlevées pour envahir les champs.
Dérogation pour le Collège Saint-Louis (Waremme)
Le 22 juillet 1941, pour avoir des légumes, le collège Saint-Louis de Waremme est autorisé par la commune à cultiver les surfaces, réservées aux futures routes, qui ont été délimitées dans les champs.