Waremme veut construire de nouvelles routes

En juin 1941, la ville de Waremme désire construire de nouvelles routes. Elle les a tracées et délimitées à travers les champs. Ces surfaces ne peuvent plus être cultivées par leur propriétaire.

Un aviateur belge abattu se dirige vers Waremme

Le 11 mai 1940, alors que l’aviation belge tente de détruire les ponts de Vroenhoven et de Veldwezelt qui n’ont pas sauté, le Gloster Gladiator du capitaine GUISGAND, est mis à mal par des Messerschmitt Me 109 allemands. Il doit se poser en catastrophe dans la campagne de Faîmes, dans le champs de betteraves du fermier VANDERMEIR Georges, sous les yeux de HUMBLET Camille, son fils HUMBLET Hubert et du domestique SEBA Joseph, qui répandent de l’engrais sur le champs d’avoine « HUMBLET ».

Ils le voient sauter de l’appareil, couvert d’huile et blessé au visage. Il prend ensuite calmement la direction de Waremme. Là, il se rend à la gendarmerie, d’où il téléphone à l’état-major de son escadrille, à Beauvechain.

Il se rend ensuite à la pharmacie « GIELEN » où on lui donne des compresses pour ses blessures au visage. Sur les conseils du pharmacien, il va prendre un petit-déjeuner à l’Hôtel « LAVAL », en face de la gare. Il y attend le véhicule de maintenance de son escadrille.

La population a faim (Waremme)

En 1845, la situation de la population waremmienne est misérable. Le prix des denrées alimentaires augmentent et les pommes de terre, qui sont avec le pain, la principale alimentation d’un ménage, viennent à manquer. Des vols de denrées se produisent dans les champs.

Corps de Garde de Nuit (Waremme)

Le 20 septembre 1845, sur une proposition du Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, le conseil communal de Waremme décide de constituer deux corps de Garde de Nuit, l’un à Waremme et l’autre à Longchamps, pour lutter contre les vols de denrées dans les champs. Une indemnité de 60 centimes par nuit est accordée aux deux escouades.