La Chapelle Fleussu (Waremme)

Vers 1960 (?), quelques personnes vont encore prier à la Chapelle FLEUSSU, située à l’endroit où le Chemin de Bovenistier débouche dans Waremme.

Grille pour l’église (Remicourt)

Le 8 janvier 1914, la chapelle de la grotte de Lourdes de l’église de Remicourt est délimitée par une grille en fer forgé, réalisée par HALIN R. de Liège. Elle est offerte par un donateur anonyme.

Equipement de l’église (Remicourt)

Le 23 décembre 1913, une personne anonyme place, dans la chapelle Notre-Dame de Lourdes de l’église de Remicourt, un offrandier en fer forgé fourni par BILLAUX-GROSSE de Bruxelles.

Une autre personne anonyme installe une sonnette de chœur avec monture en fer forgé, du même artisan.

Démolition de la chapelle de la ferme de Remikette

En 1872, la chapelle de la ferme en carré du hameau de Remikette à Les Waleffes est démolie. Elle datait de 1729.

Chapelle à la ferme de Les Waleffes

En 1729, l’abbesse des Soeurs du Val-Notre-Dame, DE BOILEAU Lutgarde, fait construire et consacrer une chapelle à la ferme que la congrégation possède au hameau de Remikette à Les Waleffes.

Le tumulus d’Otrange

En 1993, un examen pédologique réalisé par FECHNER K., à la demande de Musées Royaux d’Arts et d’Histoire de Bruxelles, sur l’éminence située le long de la chaussée romaine « Bavai – Cologne », à Otrange, surmontée d’une chapelle Saint-Eloi, et classée par Arrêté Royal comme tumulus en 1975, confirme qu’elle est bien naturelle.

Le tumulus d’Otrange

Le 26 mai 1975, une éminence, le long de la chaussée romaine « Bavai – Cologne », à Otrange, surmontée d’une chapelle Saint-Eloi, est classée par Arrêté Royal comme tumulus (mais elle est probablement naturelle).

Restauration de la chapelle Saint-Pierre (Waremme)

En 1960, la commune de Waremme fait restaurer l’intérieur de la chapelle Saint-Pierre, située rue du Pont.

Rénovation de la chapelle Saint-Pierre (Waremme)

En 1935, le chanoine AANDEKERK, curé-doyen de Waremme, fait rénover la chapelle Saint-Pierre, située rue du Pont.

Les mottes castrales (Hesbaye)

Aux 9ème et 10ème siècles, le plan des mottes castrales de Hesbaye est simple: elles sont formées d’un tertre artificiel de terre, entouré d’un fossé et d’un rempart constitué de pieux, et surmonté d’une construction de bois en forme de tour, servant à la fois de donjon défensif et de logis. A cette motte, un enclos, appelé « basse cour », est adjoint. Il est lui aussi défendu par le fossé et par un rempart. Il abrite les annexes agricoles, des logis et parfois une chapelle.