Les mazouts François (Waremme)

En avril 2021 et janvier 2022, l’entreprise de mazout de chauffage, diesel, pellets, charbon et charbon de bois « FRANCOIS – TEXACO », est installée au n° 1 A du Chemin de Petit-Axhe, à Waremme.

Fouille de la fosse n° 4 (Momalle)

En mars 1984, une fosse, dite « fosse n° 4 », est repérée et explorée sur le « site de la Tène », à Momalle, sur le champ situé de l’autre côté du chemin de remembrement (par rapport aux trois premières fosses découvertes).

Cette fosse a une contour irrégulier de 1 mètre 40 de diamètre, peu profonde sauf dans la partie Nord où la cuvette s’approfondit jusqu’à 50 centimètres sous la couche arable. Le remplissage est uniformément constitué de limon noirci par des décompositions organiques renfermant des charbons de bois épars et des tessons de poteries dispersés. Le fond de la cuvette plus profonde est tapissé d’une couche de 15 centimètres d’épaisseur de limon blanchâtre d’inondation stérile.

Fouille de la fosse n° 2 à Momalle

En mars 1981, une prospection est effectuée sur le champ voisin de la fosse, découverte sur le « site de la Tène » à Momalle en 1975 et dite « fosse n°1 ».

Ces nouvelles recherches révèlent deux autres fosses, profondément saccagées par le labour. La fosse, dite « fosse n° 2 », située à 35 mètres du bord du champ, est fouillée par DESTEXHE Guy, avec l’aide de DESTEXHE-JAMOTTE J.

Cette fosse a une ouverture circulaire de 1 mètre 60 de diamètre et une profondeur de 1 mètre 40. Son profil est très nettement incurvé. Dans le fond, le plan est elliptique, avec des dimensions de 3 mètres sur 2 mètres 50. Sous la couche arable, la fosse est comblée par une masse assez homogène de terre noire contenant de nombreux charbons de bois. Cette masse, interrompue par une fine couche compacte de foyer surmonte une couche de terre grise. Du matériel est découvert dans la couche de terre noire.

Fouille de la fosse n° 1 à Momalle

En octobre 1975, DESTEXHE Guy découvre le « site de la Tene » à Momalle.

Lors du tracé d’une route de remembrement, le versant exposé à l’Est de la dépression, parallèle à la chaussée, a été entamé pour adoucir la pente. Une fosse a été effleurée par les engins et son profil est apparu dans le talus de gauche en se dirigeant vers Momalle.

Cette fosse, dite « fosse n° 1 », est plus ou moins circulaire. Elle a un diamètre de 2 mètres et un profondeur de 1 mètre. Les parois sont presque verticales et légèrement incurvées dans la partie inférieure du pourtour Est. Le fond est plat. Sous la couche arable de 25 à 30 centimètres, la fosse est comblée avec du limon gris contenant des charbons de bois. Le fond est tapissé d’une couche compacte de charbon de bois. Dix centimètres au-dessus, les 3/4 de la surface de la fosse sont scellés par une épaisse couche de terre cuite rouge. L’autre partie est fermée par un amas de nodules de terre cuite noire, renfermant 2 mâchoires de cheval. De la poterie est disséminée dans tout le remplissage.

Fouille des tumulus n° 2 et n° 4 (Omal)

En 1850, SCHAYES A.-G.-B., conservateur au Musée Royal d’Armures et d’Antiquités de Bruxelles, fait fouiller les tumulus n° 2 et n° 4 à Omal.

Dans le tumulus n° 2, on trouve une couche de terre mêlée de charbon de bois et de cendres, et un caveau quadrangulaire renfermant quelques objets et débris (?).

Les fouilles du tumulus n° 4 sont interrompues, à la suite d’un éboulement.

Un campement de l’Homme du Neandertal (Momalle)

En 1998, sur le site du chantier de la ligne de chemin de fer à grande vitesse (TGV), des chercheurs de l’Institut des Sciences naturelles découvrent un campement de chasseurs du Neandertal, à Momalle.

Une grande quantité de silex taillés, de percoirs et de restes de charbon de bois, laissent penser qu’il s’agissait de chasseurs.

Les Transports Moermans (Waremme)

En 1941, La Maison de transports MOERMANS A. est installée au n° 47 de la rue Hubert Krains à Waremme. Pour ses transports, elle utilise une charrette hippomobile. A cette époque, utiliser une automobile ou un camion relève de la gageure. Sauf de très rares autorisations, l’essence est introuvable. Il faut rouler au « gazogène », système compliqué et encombrant, fonctionnant au bois, charbon de bois ou charbon.