Le courrier à Oreye

En 1890, une ligne de tram vicinal est établie à Oreye. Jusque-là, le courrier était amené par malle-poste. Dorénavant, la correspondance postale est amenée par le vicinal. Seule la première dépêche du matin arrive encore, chaque jour, dans une petite charrette tirée par deux chiens. Cette situation perdurera jusqu’en 1920.

Guillaume Mathot, voiturier (Waremme)

En (?), MATHOT Guillaume est bourgeois de la bonne ville de Warem le Château. Il exerce la profession de voiturier. Il utilise une charrette pour transporter des marchandises.

Il faut ramasser les armes (Waremme)

Le 13 mai 1940, le bourgmestre de Waremme, JOACHIM Guillaume, charge le garde-champêtre, VANDEVELDE Charles, dit « Tchâle li Garde », de ramasser les armes et autres objets militaires, retirés aux prisonniers, qui jonchent les rues de la ville et principalement la rue Joseph Wauters. A l’aide d’une charrette à bras, celui-ci les rassemble dans la cour de l’Ecole Moyenne.

Les frères Lismonde, mitraillés (Waremme)

Le 10 août 1944, la petite charrette des frères LISMONDE Louis, LISMONDE Camille et LISMONDE Joseph est mitraillée par un « Thunderbolt », à hauteur du Bois des Tombes à Waremme. Ils parviennent à se mettre à l’abri dans une tranchée creusée le long de la route.

La Coopérative « La Justice » s’équipe (Waremme)

En 1899, avec ses premières cotisations, la Coopérative « La Justice » de Waremme paye un modeste logis, achète un cheval (515 francs), une vieille charrette (300 francs), des rayons, un comptoir de magasin et des marchandises.

Mariage de Nicolas Delthour (Remicourt)

En 1715, MOES Elisabeth, de Hemricourt, veuve de DELTHOUR Simon, donne à son fils DELTHOUR Nicolas, en subside de mariage:

  • 4 chevaux
  • 4 vaches
  • 40 bêtes à laine
  • 2 chariots
  • 1 charrette
  • 15 porcs
  • 2 formes de lit
  • 1 table
  • quelques sièges

Joseph Malchair, marchand de bières (Waremme)

En 1953, MALCHAIR Joseph quitte la rue de la Porte de Liège à Waremme (n° 35 de l’actuelle Avenue Edmond Leburton). Il installe son commerce de bières au n° 3 de la rue Visigate. Il effectue ses livraisons à l’aide d’une charrette tirée par son cheval « Mouton ».

Vol audacieux à Waremme

Le 6 janvier 1942, un vol audacieux est commis pendant la nuit, dans une remise de la rue Hubert Stiernet à Waremme. Une charrette chargée de 1.500 kilos de pommes est dérobée.

Les Transports Moermans (Waremme)

En 1941, La Maison de transports MOERMANS A. est installée au n° 47 de la rue Hubert Krains à Waremme. Pour ses transports, elle utilise une charrette hippomobile. A cette époque, utiliser une automobile ou un camion relève de la gageure. Sauf de très rares autorisations, l’essence est introuvable. Il faut rouler au « gazogène », système compliqué et encombrant, fonctionnant au bois, charbon de bois ou charbon.

Joseph Piette à la recherche des corps (Lantremange)

Le 12 mai 1940, l’échevin de Lantremange, PIETTE Joseph, qui a assisté de loin, la veille, à l’accrochage meurtrier au carrefour des « Quatre Abias » entre les Allemands et la colonne de militaires belges venant de Pousset, se rend sur les lieux du drame avec sa charrette à bras. Il est à la recherche des victimes encore sur place. Il pousse sa macabre quête jusqu’à l’école de Pousset. Il ramène cinq corps à la maison communale de Lantremange, dont ceux de BOUROTTE François, un garagiste de Spa, et son épouse SERVAIS Augustine. (Celui-ci avait été réquisitionné avec son véhicule pour intégrer la compagnie de transport militaire).