Le 12 mai 1940, l’échevin de Lantremange, PIETTE Joseph, qui a assisté de loin, la veille, à l’accrochage meurtrier au carrefour des « Quatre Abias » entre les Allemands et la colonne de militaires belges venant de Pousset, se rend sur les lieux du drame avec sa charrette à bras. Il est à la recherche des victimes encore sur place. Il pousse sa macabre quête jusqu’à l’école de Pousset. Il ramène cinq corps à la maison communale de Lantremange, dont ceux de BOUROTTE François, un garagiste de Spa, et son épouse SERVAIS Augustine. (Celui-ci avait été réquisitionné avec son véhicule pour intégrer la compagnie de transport militaire).
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Un glacier à Waremme
En 1924, la charrette d’un marchand de crème glacée sillonne les rues de Waremme.
Le cheval du vitrier Philippe Giusti (Waremme)
Vers 1910, le vitrier GIUSTI Philippe de Waremme achète un cheval. Jusque-là, il utilisait une charrette tirée par un chien pour transporter les vitres supportées par un chassis de bois.
Philippe Pirson, commerçant (Waremme – Hesbaye)
Vers 1910, PIRSON Philippe exploite le commerce de vins et liqueurs, tabacs et cigares, ouvert par son père rue Emile Hallet vers 1899 / 1900. Il fournit sa clientèle, dans toute la Hesbaye, à l’aide d’une charrette tirée par un cheval.
Godefroid Chaudière, boulanger (Waremme)
En 1907, CHAUDIERE Godefroid s’installe rue Zénobe Gramme à Waremme (actuel numéro 11) et y ouvre la boulangerie CHAUDIERE. Il fait la tournée de ses clients avec une charrette tirée par deux chiens.
Le vitrier Giusti s’installe à Waremme
En 1872, GIUSTI Philippe s’installe comme vitrier à Waremme, y fondant une véritable « dynastie » de vitriers. A ses débuts, il transporte sur le dos un chassis de bois supportant des vitres de plusieurs dimensions. Plus tard, il disposera d’une charrette, tirée par un chien.