En 1902, une famille « Thomas » qui habite Waremme:
- THOMAS Jules, plafonneur
- THOMAS François, plafonneur et négociant
- THOMAS Emile, employé communal
- THOMAS Achille, cordonnier
- THOMAS Joseph, charron
En 1902, une famille « Thomas » qui habite Waremme:
En 1903, habitent Haneffe:
En 1763, quelques métiers de Waremme:
En 1906, les professions exercées à Waremme sont les suivantes :
Le 6 avril 1893, le conseil communal de Waremme procède à la nomination de treize pompiers :
C’est GEUQUET Adrien qui est nommé chef des pompiers. Ils sont payés à l’incendie.
En 1856, les professions exercées à Waremme sont les suivantes :
En 1763, les professions exercées par les hommes sont les suivantes :
En 1763, les journaliers et journalières waremmiens sont 143. Ils représentent 41,5% des travailleurs. Lorsqu’on parle de journalier, on entend traditionnellement l’ouvrier agricole à qui on confie les petits emplois les moins bien payés. Mais à Waremme, il n’y a que 12 cultivateurs recensés, qui ne peuvent employer une telle quantité de main d’œuvre. En fait, le journalier est un ouvrier payé à la journée dans n’importe quel domaine, sans attache avec un employeur particulier. Souvent sans qualification, il est d’une grande mobilité professionnelle. La plus grande partie des journaliers travaillent à domicile, chez un autre journalier disposant d’un plus grand local ou même dans une sorte d’atelier public, mis à sa disposition par un fabricant. Les journaliers louent leurs services au gré des demandes et des saisons. Ces journaliers « travailleurs à domicile » n’exécutent que la fonction technique, la fonction économique reste l’apanage du marchand dont ils dépendent pour obtenir les matières premières et les commandes. Ils sont donc économiquement subordonnés à ce marchand.
En 1808, il faut se procurer un « passe-port pour l’intérieur », auprès de la Police Générale de l’Empire, pour se déplacer d’un département à un autre.
Ainsi, le 15 novembre de cette année, un tel document est délivré à DUMONT Nicolas, un charron de 24 ans habitant à Bleret. (Département de l’Ourthe). Il désire se rendre dans le département de la Dyle, puis dans celui de la Meuse inférieure.