Opération gaufres (Waremme)

Du 14 février au 1er mars 2020, l’ASBL « Haut Regard » de Waremme, service d’accueil pour personnes adultes présentant une déficience intellectuelle, organise sa 46ème « Opération Gaufres », pour remplacer son installation de chauffage au mazout par une autre au gaz.

Grégory Rossius, chauffagiste (Oreye)

En avril 2014, ROSSIUS Grégory exploite l’entreprise de chauffage et sanitaire « RG – Chauffage » à Oreye.

La société Masson M & G (Waremme)

En octobre 2012 et avril 2024, l’entreprise de chauffage, la SCRL « MASSON M & G » est installée au n° 3 de l’avenue François Bovesse à Waremme:

  • chaudières
  • Chaudières à condensation
  • pompes à chaleur
  • sanitaire
  • panneaux solaires

Amélioration du chauffage (Waremme)

En mars 2014, des travaux d’amélioration du système de chauffage du complexe de bâtiments « Centre Culturel – ONE – Académie de Musique – Maison des Jeunes » sont entrepris à Waremme. Ils permettront de substantielles économies d’énergie.

Les chauffages Gammatherm (Faimes)

En mai 2013 et 2014, l’entreprise de chauffage, sanitaire, ventilation, traitement de l’eau « Gammatherm » est installée au n° 86 de la rue de Huy, à Faimes.

Dominique Lardinois, chauffagiste (Pousset – Remicourt)

En mai 2014 et décembre 2023, l’entreprise de chauffage « LARDINOIS Dominique » est installée au n° 1 de la rue Chambrie à Pousset (Remicourt):

  • Chauffage
  • Sanitaire
  • Climatisation
  • Système solaire
  • Pompe à chaleur
  • Contrôle citerne

Les Ets Rolans (Waremme)

En juin 2014 et septembre 2018, le magasin de décoration intérieure, de luminaires, chauffage et de matériel électrique « Ets ROLANS » est installé au n° 8 de la rue Saint-Eloi à Waremme.

Chauffage de l’école (Jeneffe)

A l’hiver 1900 – 1901, très rigoureux, la commune de Jeneffe vote un crédit spécial de 50 francs pour le chauffage des classes de l’école du village.

Les Plaids Généraux à Hodeige

Appelé aussi « Assemblement des Manants », il a lieu en plein air, soit sur le pont jeté sur l’Yerne, non loin de l’église, soit sur le cimetière.

Ce pendant, à la fin de l’Ancien Régime, la coutume veut qu’il se tienne en la résidence d’un des deux bourgmestres. En hiver, la communauté y fait feu à ses frais.

La liste des manants présents à ces plaids est consignée dans le registre des délibérations. En cas d’empêchement, le manant doit faire connaître le motif de l’absence. Dans certains cas, la femme peut remplacer le mari.

En cas de scrutin lors de la réunion, on consigne au registre le nom des votants « pour » et « contre ».

Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)

Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:

  • Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
  • Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.