Les Ets Rolans (Waremme)

En juin 2014 et septembre 2018, le magasin de décoration intérieure, de luminaires, chauffage et de matériel électrique « Ets ROLANS » est installé au n° 8 de la rue Saint-Eloi à Waremme.

Chauffage de l’école (Jeneffe)

A l’hiver 1900 – 1901, très rigoureux, la commune de Jeneffe vote un crédit spécial de 50 francs pour le chauffage des classes de l’école du village.

Les Plaids Généraux à Hodeige

Appelé aussi « Assemblement des Manants », il a lieu en plein air, soit sur le pont jeté sur l’Yerne, non loin de l’église, soit sur le cimetière.

Ce pendant, à la fin de l’Ancien Régime, la coutume veut qu’il se tienne en la résidence d’un des deux bourgmestres. En hiver, la communauté y fait feu à ses frais.

La liste des manants présents à ces plaids est consignée dans le registre des délibérations. En cas d’empêchement, le manant doit faire connaître le motif de l’absence. Dans certains cas, la femme peut remplacer le mari.

En cas de scrutin lors de la réunion, on consigne au registre le nom des votants « pour » et « contre ».

Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)

Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:

  • Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
  • Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.

Le cinéma Lucky (Remicourt)

Vers 1952 (?), DELISSE Félix relance l’activité de cinéma dans sa salle à Remicourt. Il lui donne le nom de « Cinéma Lucky ». Le chauffage de la salle est assuré par un poêle à charbon en fonte. Le premier projectionniste est PIROTTE Joseph. Il sera rapidement rejoint par HAUGEN Florent. Les comptes sont tenus par un jeune voisin, PIROTTE Léon, qui perçoit les entrées

Chauffage pour l’église (Remicourt)

En juillet 1950, le Conseil de la Fabrique d’Eglise de Remicourt choisit d’installer un système de chauffage par air pulsé dans l’église du village. L’installation sera effectuée par les Entreprises CORIN L.

Chauffage au Métropole (Waremme)

En 1951, un système de chauffage est installé au cinéma « Le Métropole » à Waremme.

Remplacement du chauffage de l’église (Crisnée)

En 1970, le vieux poêle à charbon de l’église de Crisnée est remplacé par un chauffage à mazout à air pulsé.

Du chauffage dans l’église (Crisnée)

Jusqu’en 1924, il n’y a pas de chauffage dans l’église de Crisnée. Avec l’arrivée de l’abbé STALS, la Fabrique d’Eglise décide d’installer un poêle à charbon. Il a été fabriqué par « Bert-li-Mignon ».

Le budget de l’Ecole Ménagère Agricole (Waremme)

Pour l’année scolaire 1913 – 1914, le budget de l’Ecole Ménagère Agricole, de l’Institut des Filles de la Croix de Waremme, s’établit comme suit:

Recettes

  • Subsides de la communauté: 871
  • Subsides de l’Etat:                 835
                                      Total: 1.705 francs

Dépenses

  • Directrice:                                                 290
  • Maîtresses:                                               500
  • Autres:                                                      500
  • Eclairage, chauffage:                                 145
  • Denrées alimentaires:                                180
  • Entretien, nettoyage, lessivage, repassage: 75

                                                          Total:     1.705 francs