Le 1er septembre 1783, MAQUOI Gilles voit le jour à Oreye. Il épousera PINTE Catherine, également native d’Oreye. Il sera journalier, puis exploitera une ferme en bordure du chemin appelé « Rouale Mâkwè », qui débouche sur la Chaussée Romaine.
En février 1853, le chemin Basse L’Adresse à Les Waleffes, est bordé de mares d’eaux stagnantes et malodorantes. Elles peuvent amener des maladies.
En 1941, la commune de Borlez effectue des travaux pour aménager le chemin en terre battue, appelé « Rue Basse-Voie ».
Le 12 avril 1964, un chemin de campagne de Les Waleffes, utilisé par les Résistants pour leurs opérations, durant la Deuxième Guerre Mondiale, est baptisé « rue de la Résistance ».
En 1900, un grand biface cordiforme, de la fin de l’Acheuléen ou du Moustérien, est découvert dans un chemin creux reliant Petit-Axhe à Berloz.
En 1870, la « Voie de Jeneffe », qui relie Momalle à Jeneffe, est un simple chemin de terre, à peine carrossable. (Elle deviendra plus tard la « Rue de la Station »)
Le 12 mai 1867, le Conseil Communal de Hollogne-sur-Geer constate que d’importants dégâts ont été causés au chemin de grande communication « Waremme – Lens-Saint-Remy », dans la traversée de son territoire. Il négocie avec la sucrerie NAVEAU, pour qu’elle prenne en charge une partie des frais de réparation. Elle accepte de payer 1.360 francs pour l’achat de pierres destinées à cet usage.
Vers 1976, l’arbre d’Elmay, situé en bordure d’un petit chemin à Faimes, peu avant le Carrefour de la Mort, est frappé par la foudre.
En juin 2016, le bourgmestre de Waremme, CHABOT Jacques, et l’échevin de l’urbanisme, MIGNOLET Vincent, font le point sur le dossier de la rénovation urbaine de Waremme, lancée en automne dernier. Cette rénovation vise à redynamiser le centre-ville, en privilégiant trois axes:
Le 23 avril 1864, le conseil communal de Waremme décide la suppression du Chemin du Maréchal au Pré Neuf.