Le 23 avril 1864, le conseil communal de Waremme décide la suppression du Chemin du Maréchal au Pré Neuf.
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Des « Droits de barrière » à Waremme
Le 26 août 1856, un arrêté-royal autorise les conseils communaux, de Bleret, Pousset, Lantremange et Waremme, à percevoir, pendant 10 années consécutives, à partir d’une époque à fixer par le Gouverneur de la Province de Liège, un droit de barrière égal aux 3/5 de celui qui est perçu aux routes de l’Etat, sur la partie du chemin de grande communication de Waremme à Fexhe-le-Haut-Clocher, comprise entre la chaussée Romaine et la limite de Lamine.
La perception du droit se fera conformément au tarif indiqué dans les susdites délibérations, avec une concurrence de 530 mètres vers Waremme.
Les lois et règlements, ayant pour objet la police du roulage, le mode de perception des droits de barrière sur le routes de l’Etat, sont rendus applicables à ce chemin.
Mandement du Prince-Evêque (Liège – Hesbaye)
En juin 1563, le Prince-Evêque de Liège adresse un mandement au Bailli de Hesbaye:
« Vu les mauvaises rues, voies et chemins (…) à raison desquelles nos communs sujets et marchands … ne peuvent (…) passer, chevaucher ni charrier pour le mauvais entretien et réparation d’iceux, il est prescrit à tout seigneur et communauté de faire visiter par la justice (…) toutes fosses droites, rues, voies, ponts, rivières, ruisseaux et passages, de les faire réparer et sous leur pertinente largeur (?) faire élargir et profonder, que l’eau puisse passer et les dits chemins sécher; et tous autres chemins fera un chacun réparer et refaire là et si avant que s’extendent les héritages (propriétés); et ce dans un délai de 2 mois après proclamation de l’édit, sous peine d’une amende de 12 florins. »
L’urgence semble telle que le Prince autorise d’y oeuvrer les dimanches et les jours de fête, après la grand-messe. La plantation d’arbres le long des chemins est encouragée; les frais étant partagés entre le Seigneur, l’autorité publique et le riverain. Les officiers de justice (échevins, mayeur) sont inviter à faire l’inspection de la voirie deux fois l’an: la veille de la Saint-Jean (24 juin) et la Saint-Remy (1er octobre).
La rue de la Wéryque (Waremme)
Vers 1905, la rue de la Wéryque à Waremme n’est qu’un chemin de terre battue, poussiéreux durant les chaleurs de l’été et se transformant en bourbier à la moindre pluie.
Aménagement de la rue des Prés (Waremme)
En 1962, la rue des Prés de Waremme est aménagée pour faciliter l’accès au complexe sportif, le Centre Sportif et Culturel Edmond Leburton. Auparavant, cette rue était un chemin fangeux, véritable dépotoir à ciel ouvert.
Normalisation du Geer (Waremme)
En 1953, la première partie des travaux entrepris dans le cadre de la normalisation du Geer à Waremme est terminée.
Ces travaux sont les suivants:
- le nettoyage, la rectification et l’approfondissement de la rivière, sur son parcours depuis le pont de la rue de Berloz jusqu’à Hartenge;
- le remplacement du pont de la rue du Moulin (ancien pont Dotrenge);
- le remplacement du pont de la rue du Pont. Plus large, il dispose maintenant de trottoirs et d’éclairage;
- le remplacement du pont du Moulin de Hartenge, avec l’aménagement du chemin de part et d’autre.
Le remplacement des des anciens ponts est devenu nécessaire en raison de leur vétusté et de l’étroitesse du passage laissé au cours d’eau, occasionnant les débordements.
Le « Bidonville » de Waremme
A la fin de la seconde guerre mondiale, plusieurs habitants de Waremme vivent encore dans de vieilles roulottes ou de vieux baraquements à la périphérie de la ville, notamment à l’endroit de la future rue des Prés, qui n’est encore qu’un chemin.
La plus célèbre de ces « maisons » est celle de WAGELMANS Mélanie, dite « Kète di Bwès ».
Création d’un chemin de jonction à Waremme
Le 26 mai 1904, Mademoiselle DE LAFONTAINE Alice, autorise la commune de Waremme à prélever gratuitement sur son terrain de la rue de la Centrale (qui deviendra plus tard la rue Gustave Renier), les terres nécessaires au remblai du chemin de jonction entre la route de Celles et la rue de Huy. Ce chemin s’appellera plus tard, rue Stanislas Fleussu.
Un nouveau chemin va faire le tour de Waremme
En 1869, un chemin de ceinture autour de la ville de Waremme est mis en chantier. Il va permettre un accès plus aisé à la station de chemin de fer et aux industries locales, aux charrois hippomobiles qui assurent le transport des marchandises et contribuent à développer les échanges commerciaux entre la ville et les localités voisines.
Le « Château Maudit » (Grand-Axhe)
Vers 1850, LOUIS Maximilien habite une villa, située en bordure d’un chemin (qui s’appellera plus tard la rue Noville) à Grand-Axhe, et surnommée « Le Château Maudit ».
Cette villa sera plus tard la propriété de la famille LEDOCTE.