Le Chemin de Fer porte un rude coups aux diligences (Waremme)

Après 1839, en raison de l’arrivée du Chemin de Fer à Waremme, les services de diligences vont rapidement régresser, car ils sont plus couteux que le rail et surtout moins rapides. Cette régression va entraîner, par contrecoup, la faillite des auberges situées sur le trajet de ces diligences. Ainsi, l’auberge ‘L’Etoile » sera démolie quelques années après la construction du Chemin de Fer.

Jean-Joseph Beauduin importe du sel de potasse (Waremme)

En 1895, BEAUDUIN Jean-Joseph fait venir par Chemin de Fer un plein wagon de sel de potasse, pour ses propres besoins, mais également pour ceux d’autres agriculteurs.

Waremme envisage l’achat d’un terrain pour y construire les écoles primaires

Le 2 juin 1864, le Conseil Communal de Waremme propose d’acheter une prairie appartenant à Monsieur BOUX de Boëlhe, pour y construire les écoles primaires de la ville.

Le Notaire JACQUES-HOUSSA déclare que cette opération permettrait de relier le centre de Waremme à la station de Chemin de Fer.

Waremme demande au gouvernement d’améliorer l’accès à la gare

Le 17 octobre 1838, le conseil communal de Waremme adresse une demande pressante au Ministre des Travaux Publics, pour que soit construite une voirie pavée, permettant d’accéder à la station de Chemin de Fer.

L’accès à la gare de Waremme est difficile

En 1838, les routes d’accès à la station du Chemin de Fer de Waremme sont difficilement carrossables.

Le Chemin de Fer prolongé jusque Liège

En 1842, le ligne de Chemin de Fer est prolongée jusqu’à Liège-Guillemins. Cette prolongation a nécessité la construction d’un plan incliné, qui doit compenser une déclivité de 110 mètres entre Ans et le centre de Liège.

Inauguration du premier tronçon de Chemin de Fer en Belgique

Le 5 mai 1835, le Roi LEOPOLD 1er inaugure le tronçon de Chemin de Fer Bruxelles – Malines. C’est la première ligne de Chemin de Fer de l’Europe Continentale.

Les locomotives des convois du jour sont fournies par STEPHENSON et COCKERILL. Trois convois sont constitués. Le premier, constitué de sept voitures « char à bancs », est réservé aux « Corps Constitués ». Il est tracté par la locomotive baptisée « La Flèche ». Elle est conduite par DE RIDDER. Le deuxième, composé de trois wagons « char à bancs » et quatre diligences, est réservé aux ministres, diplomates, sénateurs et députés. Il est tracté par la locomotive baptisée « Le Stephenson ». Le troisième, composé de seize wagon « char à bancs » est réservé aux invités sans fonction officielle, dont STEPHENSON. Il est tiré par la locomotive « L’Eléphant ». Elle est conduite par SIMONS.

La cérémonie se déroule dans une ambiance de fête foraine : tribunes colorées, drapeaux flottant au vent, messieurs en gibus et redingote, dames en grande tenue et chapeau.

La vitesse moyenne des convois est de 32 à 40 km/h.

La liesse générale retombe quelque peu lorsque le convoi royal tombe en panne, par manque d’eau, sur le trajet de retour Malines-Bruxelles.

L’économie a besoin d’un Chemin de Fer (Liège – Belgique)

Au mois d’octobre 1830, le Comité d’Industrie et d’Agriculture de Liège s’adresse au Gouvernement Provisoire pour insister sur la nécessité d’améliorer les moyens de communication, notamment, par la création d’un Chemin de Fer.

Les nouveaux aménagements de la Gare de Waremme

Le 12 juin 1997, les nouveaux aménagements de la Gare de Waremme sont inaugurés par les représentants de la SNCB et les autorités communales de la ville.

Un nouveau tunnel sous les voies, un nouveau quai le long de la voie vers Bruxelles.

Ce nouveau quai comporte trois accès, par le tunnel sous voies, par le prolongement de la rue de Sélys et par la rue de Huy. Ces travaux s’élèvent à 80 millions de francs belges.